150# Je n’ai pas tenu mes bonnes résolutions

je n'ai pas tenu mes bonnes résolutions

Vous avez pris de bonnes résolutions et vous vous rendez compte que vous êtes déjà loin du compte. Vous avez commencé, vous vous êtes lancé et vous commencez déjà à percevoir une certaine déception au point de vous dire : « je n’ai pas tenu mes bonnes résolutions ».

Quoi qu’il en soit, j’espère que vous avez passé une bonne fin d’année. Peut-être avez-vous vécu de beaux moments avec des amis et peut-être de la famille avant de vous projeter vers ce que vous aviez décidé de faire avec l’ouverture de cette nouvelle année.

Petit tour d’horizon

Je me suis un peu amusé à regarder les bonnes résolutions prises par les uns et les autres. Pour le faire, il suffit d’aller faire un tour sur les réseaux sociaux pour découvrir les résolutions prises cette année où les années précédentes.

J’ai pris note de quelques unes comme celle de Laura dit «Je veux continuer dans le zéro déchet ». Stephane dit « Je veux faire plus d’efforts pour réussir mon baccalauréat et être un gentilhomme en plus de bien d’autres choses ». Un anonyme choisit de « se foutre de la vie des autres et d’être qui il veut être sans se préoccuper de ce que pensent les autres ». Une autre Laura dit vouloir arrêter de fumer et apprendre à jouer de la guitare. Elle veut faire ce qu’elle dit et réduire sa tendance à dresser des listes.

J’ai noté également la résolution d’Anaïs « Je ne veux plus être en retard, appeler ma famille régulièrement, me coucher plus tôt, faire plus de sport si c’est possible, faire un voyage au Portugal cet été et arrêter d’être tout le temps sur le téléphone », dit-elle. 

À ce genre de nouvelles résolutions, s’ajoutent les nombreuses résolutions qui touchent à la perte de poids, à la pratique plus régulière d’exercices physiques, à la volonté de manger moins, de ne plus fumer, de créer une entreprise, etc. 

Les résolutions qui sont prises vont vraiment dans des directions très variées qui touchent à des bénéfices personnels, la santé et l’équilibre de vie.  Il y a des objectifs qui touchent aux examens, dont le baccalauréat et d’autres à la vie professionnelle quand il est question de créer une entreprise etc. 

Les bonnes résolutions ont besoin de bienveillance

J’ai trouvé assez souriant d’entendre une personne me parler de ses décisions prises en toute fin d’année 2021. J’étais en contact avec elle le 3 janvier à la mi-journée et elle se désolait de n’avoir pas tenu sa décision prise quelques jours plus tôt. 

À vrai dire, c’est ce qui a inspiré ce sujet d’aujourd’hui « je n’ai pas tenu mes bonnes résolutions ».

Si j’aborde ce sujet, c’est parce que ce n’est pas forcément évident de tenir ces bonnes résolutions. D’ailleurs, je tiens à vous dire que si vous êtes concerné, que vous lisiez cet article au mois de janvier ou même quelques mois plus tard en vous reconnaissant dans ce que je suis en train d’évoquer, je voudrais que vous commenciez par ne pas vous juger. Que vous puissiez vous dire « j’accepte d’être bienveillant envers moi ».

Pour que ce soit plus facile, imaginez que vous ayez un pote, un ami ou un voisin qui ait décidé de prendre une décision particulière qu’il n’a pas tenue. Vous ne lui diriez pas : « Tu n’es qu’un pauvre con, un lâche et un trouillard. Tu aurais pu avoir un peu plus de tripes et te tenir à ce que tu avais prévu de faire » ! Non, il y a très peu de risques que ce discours ressemble à celui-là.

Vous aurez plutôt tendance à lui dire  : « écoute, qu’est-ce qu’il fait que tu n’as pas tenu ce que tu avais décidé de faire ? Qu’est-ce que tu ressens ? Comment vois-tu les choses maintenant ? Est-ce que tu veux te reprojeter dans la même direction ou envisages-tu les choses autrement ? »

En réalité, vous vous positionneriez dans une attitude d’écoute pour essayer de comprendre et d’accueillir la réalité vécue par l’autre.

Faites la même chose avec vous. Prenez votre cahier de vie (et si vous ne savez pas de quoi je parle, allez écouter le rendez-vous intitulé Rendez-vous avec vous-même) et prenez quelques instants pour commencer à vous interroger pour savoir ce qui fait que vous n’avez pas tenu vos bonnes résolutions. Posez-vous la question. Que se passe-t-il ? Pourquoi ? Et pour quoi ?

Ceux qui m’écoutent depuis longtemps savent que j’aime travailler sur ces deux plans. Le pourquoi qui est en relation avec le présent, en reflet d’une réalité passé. Il permet de s’interroger pour savoir ce qui fait, qu’en relisant le passé, on en est là où on se trouve au présent.

Quant au pour quoi en deux mots, il permet de répondre à la question du but. Dans quel but n’ai-je pas tenu mes bonnes résolutions ?

Parvenir à se comprendre est un pas vers le succès même si c’est insuffisant

Arrêtons-nous quelques instants sur le passé avec le pourquoi en un seul mot. À ce stade, il est question de s’arrêter sur les raisons pour lesquelles vous n’avez pas tenu vos bonnes résolutions. (Vous percevez que je dis « vous », mais vous comprenez que je ne suis pas exclu. Je pourrais légitimement dire « nous » ou « je » me sentant pleinement concerné par le sujet que je suis en train d’évoquer avec vous).

Nous avons, vous avez, ou j’ai des raisons qui appartiennent à la surface et qui constituent des arbres qui cachent la forêt. Ces raisons de surface sont là comme pour nous servir de support, de prime-abord.

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Je prends l’exemple de quelqu’un qui a tendance à se mettre en colère. Pendant l’accompagnement, cette personne me dit « c’est ça qui fait que je me suis mis en colère. À chaque fois ma femme me dit ces mots-là, je ressens de la colère». 

Cet homme n’est pas conscient que ce n’est pas parce que sa femme lui dit ceci ou cela qu’il se met en colère. Il se met en colère parce qu’il a le sentiment, en lui-même, dans ses propres croyances, d’être dévalorisé. Il a l’impression que sa femme ne le considère pas comme quelqu’un de responsable, de capable, qu’il n’est pas au niveau et incompétent, indigne de confiance.

Vous comprenez qu’en descendant dans la raison pour laquelle cet homme ressent de la colère, j’arriverai à la couche qui touche au fait qu’il ne se sent pas aimé. Par conséquent, il ressent une insécurité émotionnelle profonde. Il a un sentiment de rejet avec l’impression que sa propre identité et son équilibre intérieur sont mis en danger, d’où la colère servant de sirène d’alarme.

J’ai brossé rapidement ces étapes pour passer de la surface (je me mets en colère parce que ma femme m’a dit ça) à ce qui se trouve au fond (le sentiment de rejet, de ne pas exister et de mourir émotionnellement s’exprimant par le cri de détresse et de refus de ce mauvais « sort »).

Si vous remontez quelques rendez-vous plus tôt, mis en ligne les semaines précédentes, vous retrouverez les différentes couches dans lesquelles on descend dans le tréfonds de soi pour aller rencontrer la véritable raison d’un déclenchement émotionnel.

Le scoop Heureux au Présent

D’ailleurs, dans quelques semaines, vous pourrez télécharger le nouveau livre que j’ai écrit pour le bonus de ce blog Heureux au Présent. Il s’intitule « j’ai attrapé le virus du bonheur. 3 remèdes efficaces pour ne pas en guérir ».

Entre autres, dans ce livre-là, j’aborde la pyramide des besoins d’Abraham Maslow dans laquelle j’explique à quel point il nous est dommageable de confondre besoins et besoins (comme le besoin d’être à l’heure qui n’en est pas un).

J’y utilise la pyramide pour montrer à quel point il est nécessaire d’aller dans la verticalité afin de découvrir son/ses besoin(s) profond(s). À quel besoin ai-je cherché à répondre en ne tenant pas ma résolution ? C’est là qu’est la question de fond, le sujet se trouvant plusieurs couches en dessous de la surface.

Au boulot !

J’ai décidé de perdre du poids, de manger plus sainement, de ne plus manger de chocolat tous les jours et de réduire ma consommation de biscuits et de n’en manger qu’une fois par semaine et je constate que depuis 15 jours, depuis ma prise de résolution, j’ai mangé du chocolat deux ou trois jours de suite et quelques biscuits. Qu’est-ce que j’ai voulu dire ? À quel besoin tapis au fond de moi ai-je voulu répondre en priorité par rapport à ma bonne résolution ?

Vous pouvez faire ce travail seul sur votre cahier de vie ou sur une feuille de papier pour chercher à comprendre la raison pour laquelle vous mangez comme ça. De quoi voulez-vous vous remplir ?

Si vous vous rendez compte,par exemple, que vous cherchez à vous remplir d’affection, que vous ressentez la nécessité de douceur, d’un doudou, de quelque chose d’agréable et d’un regard bienveillant, vous pourrez sans doute aller les chercher à un endroit adapté qui vous éloignera de l’idée de manger du chocolat. En réalité, vous savez que le chocolat est un leurre même si vous ignoriez ce qu’il cachait au fond.

Vous retournant vers vous-même, vers votre intérieur, vous entrerez dans l’égocentrisme où vous pourrez découvrir la où les raisons pour lesquelles vous avez choisi de ne pas suivre vos bonnes résolutions en optant pour une autre voie, une autre solution.

On n’est pas dans un choix raisonné en se disant « j’ai choisi de ne pas tenir une bonne résolution ». Vous avez le sentiment que c’est plus fort que vous. Pourtant, quoi que vous pensiez, vous êtes plus fort que cette sorte de tentation dans bien des cas, si vous décidez de travailler avec un pour quoi en deux mots.

Le pour quoi nous parle d’avenir

Il est donc maintenant question de parler d’avenir. Quel est l’objectif ? 

Pour tenir une bonne résolution, nous avons besoin de nous souvenir du pour quoi, de la raison, du but pour lequel nous voulons tenir cette résolution.

L’idée n’est pas d’aller camper dans un cadre ayant pour but de nous aider à fuir une chose considérée comme mauvaise pour nous. Si nous nous engageons dans une voie pour une autre raison que de la bienveillance envers nous-même, nous savons d’avance que nous ne tiendrons pas.

En fait, nous avons tendance, nous humains, à fonctionner par bénéfices. Si le bénéfice est pour moi-même, je le ferai plus facilement. À cela s’ajoute le fait que je le ferai encore plus facilement si j’ai l’impression que le bénéfice est largement supérieur aux inconvénients. Par contre, si le bénéfice est destiné à quelqu’un d’autre, ça veut dire que je le ferai en suivant une loi extrinsèque (qui vient du dehors de moi-même), j’aurai plus de difficultés à la suivre. 

Si les gens me trouvent trop gros ou trop maigre, je déciderai de manger plus ou moins, mais ça compte beaucoup moins que si le dérangement est en relation avec moi-même. Si moi-même je ne me trouve pas assez gros ou que je me trouve moi-même trop maigre, indépendamment de ce que pensent les autres, je mettrai le changement plus facilement en oeuvre.

Inscrit dans cette dynamique-là, je changerai parce que je le ferai pour moi. Finalement, l’égocentrisme devient une aide pour tenir les résolutions parce que centré sur soi-même. L’objectif n’est donc pas de plaire aux autres, de faire ce que d’autres attendent ou demandent, mais de le faire parce qu’on estime que c’est bon pour soi-même.

Déjà, vous pouvez vous interroger pour savoir si les résolutions que vous avez prises entrent dans cette catégorie fondamentale. Avez-vous décidé de mettre en branle des changements qui sont bons pour vous ? Aucunes de vos résolutions ne devraient concerner des attentes extérieures à vous.

Soyez SMART avec vous

À partir du moment où vous avez pris de bonnes résolutions, ayant un vrai pour quoi (ça veut dire que vous savez dans quel but vous avez choisi de prendre cette bonne résolution) et qu’en plus ce pour quoi est égocentrique, je vous encourage vivement à utiliser les objectifs SMART.

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SMART est un acronyme. Ce dernier est utilisé dans le marketing, dans les entreprises, dans le développement personnel parce qu’on s’est rendu compte qu’un objectif non SMART était beaucoup plus difficile à tenir. Autrement dit, quand un objectif est SMART il est beaucoup plus facile de ne pas se retrouver sur la même ligne de départ quelques temps après avoir pris la décision.

SMART définit donc un objectif de manière à ce qu’il soit Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste et Temporairement limité. 

J’aimerais avoir une approche pragmatique de ce qu’est un objectif SMART. 

Spécifique

À supposer que quelqu’un décide de prendre la résolution d’être ponctuel, on est loin d’un objectif qualifié de SMART. Pour que ce dernier corresponde à cet acronyme, il faudrait d’abord que l’objectif soit formulée en « je ». 

C’est ce qui va lui donner sa dimension spécifique. Par conséquent, l’objectif pourrait commencer par « je choisis d’être plus ponctuel, c’est-à-dire d’arriver au plus tard cinq minutes après le rendez-vous fixé…». 

Mesurable 

Quelques temps plus tard, il sera possible de le réviser en faisant en sorte que le délai ajouté soit réduit à trois minutes pour arriver au bout de quelques temps encore à faire en sorte d’être présent cinq minutes avant le rendez-vous fixé. Ça correspond à une chose mesurable. Quand j’arrive à mon rendez-vous six minutes plus tard, je sais être en retard, selon mon critère objectif. Par contre, si j’arrive quatre minutes plus tard je suis dans les clous de ce que je veux dire par « être ponctuel » selon moi.

Atteignable  

Dans ce cas-là, il conviendra de mesurer si la résolution prise correspond à des aptitudes, des capacités qui sont les vôtres. Pour notre exemple, la question ne se pose pas, mais veillez-y selon la résolution que vous prendrez.

Réaliste 

Quand il est question d’une résolution réaliste, on veillera à ce qu’elle ne soit pas utopique. Pour garder l’exemple de la personne qui veut être plus ponctuelle, elle ne cherchera pas à être ponctuelle sans jamais faillir. Pour respecter sa résolution, elle s’accordera une marge d’erreur en choisissant, dans une semaine, un certain nombre de fois où elle le tiendra à respecter son engagement, par exemple. Sans quoi, cette personne aura de grandes chances de se retrouver face à ce qu’elle appellera un échec. Pour limiter ce risque, elle peut choisir que, sur cinq rendez-vous prévus dans la semaine, trois correspondent à la fourchette de cinq minutes de retard maximum définie, laissant du mou sur les autres.

Temporairement limité 

Dans ce domaine, ça signifie que, dans l’exemple que j’ai donné tout à l’heure, vous ne vous engagerez pas sur 365 jours. Il sera bien plus raisonnable, pour le limiter dans le temps, de prévoir un temps imparti.

Ça peut paraitre paradoxal puisque la plupart de nos bonnes résolutions sont prises sur l’année or, comme on le constate, ce n’est pas forcément efficace. Mieux vaut prendre votre résolution pour une journée, une semaine, 21 ou 30 jours et éviter la tacite reconduction. 

Je préfère de loin la reconduction conscientisée. C’est-à-dire qu’on se projettera sur 20 jours en se disant que, de toutes façons c’est pour l’année. Non, quand il est question de le faire sur 20 jours, on est conscient d’avoir pris la décision sur un engagement déterminé de 20 jours. Une fois cette durée écoulée, on choisit de repartir sur la même période où sur une période différente, mais en étant conscient de faire un choix de poursuite de l’expérience. Ce sera un moyen de recommencer à s’interroger sur les raisons pour lesquelles on avait pris cette résolution (le pour quoi). Ce sera également un moyen de revérifier que l’objectif est bien spécifique, mesurable, atteignable, réaliste et limité dans le temps. Si vous ne fonctionnez pas sur un temps déterminé, vous ne verrez pas le bout. L’humain n’aime pas ne pas voir le bout.

Les résolutions à durée très limitée

Pour certaines résolutions, il est même judicieux de se positionner sur une heure ou sur une vingtaine de minutes. Pour quelqu’un qui décide d’être bienveillant, il peut le déterminer sur une vingtaine de minutes. « Pendant les 20 minutes qui s’ouvrent je veillerai à être bienveillant avec mes collègues. Je me refuse de les juger. Je veux les accueillir comme ils sont, en les entendant en veillant à être en réception de ce qu’ils me diront ».

Vous voyez qu’on a bien limité le temps on s’approchant d’une formulation qui rentre dans le SMART.

Avec une pratique d’une vingtaine de minutes, j’augmenterai une possible satisfaction personnelle. D’ailleurs, ça limite davantage l’insatisfaction si, au bout de 20 minutes, je me rends compte que je n’ai pas respecté la bienveillance à laquelle je m’étais engagé. Dès cette prise de conscience, je peux me relancer pour une autre tranche de 20 minutes.

Je me donne ainsi moins de chance de me retrouver à la fin de l’année en me disant « de toute façon, je n’ai pas été bienveillant, c’est minable. Je suis sûre que c’est impossible… ». Non ! Ce n’est pas trop dur. C’est juste que votre objectif n’avait pas été correctement cadré.

Le bilan régulier pour rebondir 

En sectionnant la durée de vos engagements, vous pouvez faire un point sur ce que vous avez vécu par rapport à ce que vous vouliez vivre. Vous pouvez noter ce que vous avez manqué dans votre objectif et vous proposer de nouvelles rampes de lancement pour appliquer ce que vous aviez envie de vivre.

Sachez que le changement s’inscrit dans la répétition. Plus vous le ferez et plus vous le ferez encore. Plus vous pratiquerez et plus vous atteindrez la modification de vos propres croyances (je vous renvoie au rendez-vous intitulé « je vous assure que vous croyez en vous » dans lequel j’explique comment naissent les croyances avant d’expliquer, dans les rendez-vous suivant, comment changer ses propres croyances. Allez donc y jeter un oeil ou une oreille (pour la version podcast) si vous en ressentez le besoin.

Les échecs sont les bienvenus dans les bonnes résolutions

Quand je dis que la répétition peut mener au changement, notez qu’elle inclut aussi les échecs. La répétition incluant les manquements vous conduira à un changement de comportement qui lui-même vous conduira à un changement de croyances et, par conséquent, à un changement de votre personne.

Donc, si vous avez conscience de ne pas avoir tenu vos bonnes résolutions, soyez bienveillant avec vous. Vous êtes les meilleurs potes que vous connaissez donc, soyez cool et dites-vous « OK, j’en ai conscience, je me rends compte et je sais pourquoi, en me tournant vers le passé, je sais également pour quoi (dans quel but) je veux vivre ces bonnes résolutions et, travailler de manière à ce qu’elles soient SMART. Et puis, au boulot !

Je vous souhaite une bonne année, une fois encore, sans pour autant vous inciter à vous projeter sur une année, comme nous l’avons évoqué. 

Projetez-vous sur une durée courte sans aller beaucoup plus loin puis repartez. 

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine,

Bye-bye 

5 commentaires

  1. Mais c’est encore tôt pour ne pas avoir tenu ses résolutions de bonnes années ahah. Je plaisante, c’est parfois très compliqué de se motiver sur le long terme ! Merci pour ces astuces et ses questions pour s’interroger réellement sur le pourquoi de ces bonnes résolutions. Bravo pour le podcast aussi 😉.

    1. Author

      Merci Sophie de m’avoir laissé croire que tu était une exception ;-).
      Bienvenue sur terre te souhaitant s’utiliser ma proposition pour les tenir, ces fichues bonnes résolutions.

  2. Merci pr l’article et le podcast ! Cets vrai qu’il faut se poser de bonnes questions pr tenir ses bonnes résolutions ! Merci pr cet éclaircissement !

    1. Author

      Je t’en prie Cherazade. Ces questions t’aident-elles ?


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