83# On vous aime, mais pourquoi ?

83# On vous aime, mais pourquoi, d'après vous ?

Saviez-vous que vous n’y êtes pour rien si l’on vous aime ? 

Dans ce rendez-vous, je voudrais que l’on continue dans la même direction que celle que nous avons prise la semaine dernière. Nous avons travaillé sur l’idée de ne pas confondre valeur et prix. Nous avons terminé ce rendez-vous avec la compréhension que vous ne pouvez pas acheter ce qui constitue vraiment de la valeur. Quand il y a un prix, on peut acheter, acquérir. Par contre, à partir du moment où il y a de la valeur, c’est-à-dire, aucun prix, il n’est pas possible d’acheter. On ne peut acheter de l’amitié, de l’amour, du soleil ou du temps… Tous ces éléments ne sont pas des «choses» sur lesquelles il est possible de mettre une étiquette et un prix. Cela vous conduira à vous interroger ! On vous aime, mais pourquoi ?»


Regardez la video de ce rendez-vous :

83# On vous aime, mais pourquoi ?

Acheter ou mériter l’amour 

Je voudrais continuer aujourd’hui avec un des premiers éléments que j’ai mentionnés, à savoir, l’amour. Parce qu’une manière d’acheter de l’amour est de chercher à le mériter. Je le redis, comme la semaine dernière, vous n’avez pas à mériter d’être aimé.

Je choisis de faire ce rendez-vous aujourd’hui parce que je sais que c’est un casse-tête pour certains d’entre vous. Vous vous dites : « Comment comprendre et intégrer l’idée que l’on n’ait rien à faire pour être aimé ? » Oui, je l’affirme, vous n’avez rien à faire pour être aimé. Si vous pensez avoir besoin de faire quelque chose pour être aimé, vous adoptez une approche de marchandises, de business, finalement. 

Chercher à plaire est un marchandage de l’amour

Une des choses qui nous vient très facilement, pour être aimé, est de chercher plaire à l’autre. Ceci est valable en couple ou en solobataire. Que l’on soit avec des amis ou autres. C’est la raison pour laquelle on va ressentir du plaisir à se retrouver dans un clan, dans un gang, dans une association, dans une église ou dans un club. 

On se retrouve alors avec des gens qui sont censés être comme nous. On trouve des éléments de convergence avec nous-mêmes, avec nos propres besoins. Par conséquent, on aura moins à faire pour être aimé. Entendez-vous ce que je suis en train de vous dire ? Grâce a cette association de personnes proches de nous, ces gens qui nous ressemblent, avec lesquels il y a un gros atome crochu, nous avons avons beaucoup moins à faire pour nous sentir aimé.

On peut alors se laisser davantage aller. C’est le cas dans la famille, notamment. Quand, suite à de nombreuses expériences familiales, on arrive à l’idée que l’amour est acquis, on peut enfin baisser la garde et les efforts. On s’est convaincu d’avoir moins à faire pour être aimé. Je parle de cela dans le cas d’une famille lambda. Je sais que parmi vous qui m’écoutez, ou me regardez, vous avez identifié, dans vos propres vies, des efforts pour être aimé. 

Vous êtes entré dans cette course pour répondre à la question qui vous taraudait : «On vous aime, mais pourquoi ?». En général, la prise de conscience de ce fonctionnement devient difficile à vivre.

Combien devrez-vous payer pour être aimé ? 

La réponse à la quête d’un amour marchandé, acheté, est d’autant difficile  que vous n’avez pas d’éléments vous permettant d’évaluer le résultat de vos efforts. 

Vous ne savez pas combien il vous faudra payer pour que l’amour que vous voulez recevoir vous soit donné. Cela peut vous conduire à vous retrouver dans une sorte de course perpétuelle mêlant efforts perpétuels et de recherche continue. Cette démarche peut vous conduire à la fatigue, à un burn in ou un burn out dans lequel vous aurez l’impression de devoir faire tellement pour être aimé !  « J’ai tellement fait pour… 

  • Que mon père reconnaissent ma valeur,
  • Que ma mère soit attentive et me regarde avec les yeux que j’attendais, 
  • Être accepté dans ce groupe ou dans mon boulot,
  • Je me rends compte que, malgré tout ce que j’ai payé et que j’ai donné, cela n’a pas abouti à ce que j’attendais. Tout cela a été décevant. 

L’impression de sacrifice enfle quand on a payé pour mériter l’amour

J’étais, ce matin, au téléphone avec une maman qui me disait avoir fait des sacrifices pour ses enfants. Elle a bien précisé que ce n’est pas ce qu’elle voulait dire, en employant le mot «sacrifice». Elle voulait dire «avoir payé», même si elle a corrigé. (Je profite juste de l’occasion pour préciser sa volonté de correction, au cas où elle écoutait ce rendez-vous. Elle a bien pris soin de corriger que ce n’était pas un sacrifice). 

Mais certains d’entre nous vivent leur investissement, leurs efforts comme un sacrifice. Ma mère me disait « j’ai fait beaucoup de sacrifices pour vous ». Quelque part, c’était une manière de dire « j’ai tellement payé pour vous que j’attendais de voir les signes qui montraient que ce que j’ai payé ne l’avait pas été en vain ». 

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Comprenez-vous le sentiment de fatigue qui peut s’installer ? Parce que, quand vous êtes dans une démarche dans laquelle vous achetez l’amour, que vous cherchez à plaire, vous êtes parfois fatigué ou déçu. C’est surtout vrai  quand vous réalisez que vous ne plaisez pas malgré tout ! Vous participez à nourrir la culpabilité de celui qui se rend compte que vous faites des efforts pour payer et acheter son amour et son affection et qui se dit « je ne peux pas lui donner ce qu’elle attend de moi. Ça ne colle pas avec la personne que je suis ! ». 

Comment faire pour être aimé ?

Mais alors, si l’on ne peut pas acheter l’amour. Si l’on a mieux fait de réduire la volonté de plaire à l’autre pour être ami, copains, voisins, collègues… Si l’on doit balancer tout cela, comment faire pour être aimé ?

Je rappelle que vous ne devez pas acheter l’amour qui vous est destiné. Vous ne devez pas cherché à plaire, si vous voulez être épanoui. Il est très rare que j’utilise le verbe « devoir ». C’est la raison pour laquelle je termine avec « si vous voulez être épanoui» ou «si vous voulez être heureux ». 

Si vous voulez avoir le sentiment d’être aimé parce que vous êtes vous, vous-même, quittez le terrain de la négociation de l’amour. Y rester est justement un travers de cette démarche qui consiste à faire pour être aimé, à acheter l’amour. 

Si l’on vous aime grâce à vos mérites, vous aime-t-on, en fait ?

Quand on vous aimera, suite à un mérite, parce que vous l’aurez acheté, finalement, vous risquez d’avoir à vous interroger. On vous aime, mais pourquoi ? Et vous aurez malheureusement souvent raison de vous interroger, si vous avez acheté cet amour. 

C’est le cas de personnes qui ont des biens matériels importants et qui sont ravies d’inviter des voisins, des copains, des copines, les collègues pour faire la fête. Quand elles se retrouvent seules, il est possible qu’elles s’interrogent : « Je suis content, on s’est éclaté, mais si je n’étais pas riche, est-ce qu’il serait là ? Si je n’étais pas célèbre, est-ce qu’il aimerait ? Si je n’étais pas belle ou beau, est-ce qu’il aimerait ? M’aimeraient-ils si je ne répondais pas favorablement à leur demande ? ».

L’avantage d’entrer dans une relation dans laquelle on aime l’autre sans chercher à monnayer son amour, mais en vivant une relation gratuite, est que cette question tombe d’elle-même. Cela demande une assise, une certaine base, je le sais. 

Bientôt, je présenterai un rendez-vous intitulé « Soyez égoïste ». Je sais que c’est un sujet qui fait polémique, mais l’objectif n’est pas du tout de faire réagir. Allons vraiment dans la direction du fondement d’une relation à soi-même dans laquelle nous retrouverons le sain égoïsme. Peut-être même que cette réalité touchera à l’égocentrisme qui peut être un des corolaires de l’égoïsme. 

Mériter l’amour équivaut à se leurrer

Quand on entre dans une relation dans laquelle on comprend qu’il n’est pas possible d’acheter l’amour, d’acheter de l’attention, de chercher à plaire pour satisfaire, on entre dans une relation dans laquelle la pression baisse considérablement. 

  1. Vous arrive-t-il de vivre une relation dans laquelle vous n’êtes pas dans le monnayage ? Cela vous arrive-t-il ? 
  2. Vivez-vous des relations réellement gratuites ? Même dans votre famille proche ou dans un couple ? La même question est valable dans vos relations fraternelles. 
  3. Avez-vous peur de perdre quelque chose si vous ne donnez pas ce qui correspond au «montant» attendu estimé ? 
  4. Craignez-vous de passer à côté de quelque chose que vous attendez ? Cette question est également valable sur le plan professionnel.

Si vous pouvez répondre par l’affirmative, ne serait-ce qu’à une de ces questions, vous avez besoin de vous retrouver face à vous-même, dans vos bases. De vous préparer à écouter ce rendez-vous que je prépare sur « Soyez égoïste ». Vous avez besoin de comprendre que ce qui a véritablement de la valeur est gratuit. Vous n’avez pas à l’acheter.

Face à votre peur de ne pas être aimé

Ça fait peur de risquer de ne pas être aimé. J’entends, c’est tout à fait normal. C’est la raison pour laquelle vous cherchez à plaire. Si vous vous sentez concerné, allez écouter le rendez-vous que s’intitule « Qu’est-ce que vous valez », par exemple. Je crois qu’il s’agit du rendez-vous numéro trois que j’ai mis en place sur ce blog dans la toute première saison.

Si vous avez peur, prenez le temps d’écrire vos peurs. Là, je vous renvoie au rendez-vous qui s’intitule « Rendez-vous avec vous-même ». Lors de cet entretien, j’encourage vivement à s’équiper d’un cahier de vie et d’un stylo dédié pour cela. Ensuite de prendre le temps d’écrire. Si vous n’avez pas encore de cahier de vie et que vous voulez faire cet exercice, prenez une feuille et faites-le. Quoi qu’il en soit, prenez le temps d’écrire vos peurs.

Passons à une exercice pratique 

  • De quoi avez-vous vraiment peur quand vous jouez un rôle et que vous cherchez à acheter l’amitié ou la sympathie ?
  • Quand vous êtes exubérant, que vous riez fort, que vous faites la tête, que vous cherchez à plaire en créant l’ambiance et en donnant la bonne blague, que recherchez-vous ?
  • Quand vous vous retrouvez seul chez vous, vous rendez compte que vous avez joué un rôle d’acteur pour obtenir quelque chose. Que ressentez-vous ?

À quoi ressemblerait votre vie si vous cessiez de jouer ce rôle ? 

J’entends que cela fait peur, parfois de répondre à cette question. Répondez-y sur le papier. Posez-vous la question « à quoi ma vie ressemblerait-elle ? »

  • Est-ce que votre vie ne ressemblerait pas davantage à qui vous êtes ?Évidemment, si vous ne savez pas vraiment qui vous êtes, cela peut vous faire peur.  L’idée d’être vous-même peut être effrayante, mais à vrai dire c’est là que vous êtes au plus près de vous. C’est dans cette situation-là que vous serez au mieux de vous-même. 
  • Quand vous jouez un rôle, vous n’êtes pas vous. Ce que vous jouez ne vous appartient pas. Vous jouez avec «l’argent» des autres, avec la vie des autres ou le rôle des autres, mais pas avec vous-même. Mettez-vous donc vous-même dans le jeu de la vie, sur la table, pour être véritablement dans une relation qui soit vraie. 

Les gens ne vous aiment pas parce que vous leur plaisez

Je voudrais avancer sur un deuxième volet. 

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Pour vous aider dans cette démarche, vous avez peut-être besoin d’intégrer que les gens ne vous aiment pas parce que vous leur plaisez. Je ne veux pas vous décevoir et vous dire que vous êtes nuls, ce n’est pas du tout cela. Mais ce n’est pas parce que vous leur plaisez qu’ils vous aiment. 

Pourquoi vous aiment-ils ? C’est parce qu’il y a quelque chose, en eux-mêmes, qui se trouve en résonance avec quelque chose de profond, situé dans votre for intérieur intime. Cette chose-là est amorcée, titillée, activée ou amplifiée en votre présence. Finalement, les gens qui sont autour et en face de vous et qui vous aiment, aiment une partie d’eux-mêmes. 

C’est comme s’ils vous utilisaient (inconsciemment) comme un miroir vivant pour prendre conscience d’une réalité qui se trouve au fond d’eux-mêmes et dont ils se servent pour se connecter à eux-mêmes. 

Je pense avoir expliqué ça de manière assez simple. Si ce n’est pas très clair, mettez-le-moi dans les commentaires.

Vous aimez, mais pourquoi ? 

Cela signifie que, si l’on inverse la situation, quand vous aimez quelqu’un, ce n’est pas vraiment la personne que vous aimez, mais une chose qui se trouve en vous. La personne vous sert de révélateur par rapport à une réalité qui se trouve en vous. 

Voyez vous à quel point vous gagneriez à être en véritable authenticité avec vous-même. En fait, vous pourriez passer à côté de vous-même si vous ne vous rendez pas compte de ce qui se trouve en vous et qui résonne avec une réalité profonde intérieure. Vous pouvez passer à côté de ce que vous êtes en train de créer en vous, en présence de l’autre.

Soyez plus près de vous-même, en entendant raisonner votre for intérieur, dans les relations avec vos amis, vos collègues, vos voisins et les personnes qui vous entourent. Ces personnes qui vous aiment et que vous aimez. 

Vous vous aimez sans le savoir

Je voudrais terminer ce rendez-vous avec un dernier aspect. 

Pour l’instant, vous aimez des gens qui vous ressemblent avec laquelle vous avez des atomes crochus. Ces personnes que vous retrouvez dans une association, dans un club ou avec un groupe de potes. 

Vous avez appris, naturellement (ou plutôt vous n’avez fait aucun effort pour sortir de ce que l’on vous a lancé depuis votre enfance) à aimer des gens qui vous ressemblent. Et comme je l’ai dit à l’instant, à aimer des personnes qui vous servent à réveiller en vous des choses que vous aimez de vous-même. Pour aller plus loin, je vous présente une autre étape.

Aimez-vous encore mieux grâce à vos relations gratuites

Cherchez à aimer des personnes qui ne vous ressemblent pas. Ah ! Pourquoi ? Quel intérêt ? Parce que ces personnes permettront de réveiller en vous des choses que vous ne savez pas présentes en vous-même. Vous découvrirez des capacités, des aptitudes, des sensibilités, des insensibilités, des incapacités… Des choses qui, en vous, sont ignorées alors qu’elles sont présentes. Elles sont véritablement inscrites en vous et vous ne les verrez pas émerger si vous ne fréquentez que des personnes qui vous ressemblent. C’est la richesse de la différence. 

Fréquentez des personnes qui ne vous ressemblent pas, que vous n’aimeriez pas naturellement, et vous verrez combien vous pouvez ainsi vous rencontrer autrement. Vous vous rencontrerez différemment et découvrirez comment il est possible de créer l’amour avec des personnes qui, a priori, vous rebutent ou vous rebutaient ou encore, vous laissaient indifférent. 

Souvenez-vous que l’amour est gratuit, il ne se mérite pas

Souvenez-vous que l’amour est gratuit. Vous n’avez pas à attendre que les gens vous plaisent pour les aimer. Vous pouvez juste choisir de les aimer, pour le faire. Oui oui ! N’attendez pas que les personnes vous aiment pour les aimer. Choisissez de les aimer parce qu’elles sont elles et que vous êtes vous. Et comme je l’ai dit tout à l’heure, connectez-vous à elles en laissant résonner la partie de vous et la partie d’elles qui communient avec la partie de vous. 

Vous pouvez faire cela concrètement est pratiquement sans que ce soit véritablement difficile pour vous. Voilà comment vous y prendre :

  • Prenez votre cahier de vie écrivez le profil des personnes qui, pour l’instant, vous laissent indifférent. 
  • Noter aussi les personnes qui vous hérissent le poil en précisant leur profil. Je sais que cela vous pousse à sortir de votre zone de confort. 
  • Pour ce faire, optez pour un restaurant en choisissant de partager un repas avec la première personne que vous verrez assise seule à table. Vous allez ainsi faire tomber les a priori. Vous ferez face a une personne avec laquelle vous n’aurez pas eu le temps d’émettre un jugement parce que vous aurez créé une spontanéité de relation.

Quand je parle de relation je parle bien de la création d’un lien, qui est l’étymologie du mot relation. Cette expérience se fera sans que vous ayez eu à attendre quelque chose se créer. Vous serez l’acteur, l’auteur de ce que vous vivrez. 

On pourrait faire la même chose avec un collègue au travail. En arrivant, le premier au travail, vous pourriez décider que la énième personne qui rentrera sera invitée à déjeuner ou à boire un verre. Vous pouvez peut-être avoir peur d’un déjeuner qui pourra être un peu plus long que si vous preniez simplement l’initiative de boire un verre ou un café. Quel que soit votre choix, cela vous permettra de commencer à échanger en cherchant à créer une connexion. 

Aimez en pratique sur le terrain

Vous pouvez faire le même travail avec votre boulanger en allant acheter votre pain. Idem avec la caissière au magasin ou avec une personne assise sur un banc dans un parc. Vous pouvez vous asseoir à côté d’elle et commencer à discuter. C’est possible également à l’arrêt du bus. Les opportunités sont tellement nombreuses !

Je sais qu’en ce moment, nous vivons avec le masque, mais, nous pouvons tomber les masques, sur le plan symbolique, et nous lancer dans une démarche différente. Une approche dans laquelle vous aurez choisi de donner  gratuitement de l’amour en prenant la mesure de la valeur inestimable de tout ce que cela représente. 

Vous pouvez réaliser que ce que vous donnerez est énormissime

Alors que vous êtes en train de donner de l’amour, sans vivre aucune pression même si le moment n’est pas forcément agréable pour vous, vous recevez énormément.

  • Une fois ces moments terminés, reprenez votre cahier de vie et notez ce que vous aurez vécu. 
  • Précisez ce que vous avez détesté, les raisons pour lesquelles vous l’avez détesté.
  • Notez ce que vous avez aimé et ce pour quoi vous l’avez aimé. 
  • Écrivez ce que cela vous a fait, ce qui s’est déplacé en vous et qui vous a dérangé.
  • Précisez ce que vous avez appris sur vous et ce que vous avez découvert de l’autre. 
  • Notez les raisons pour lesquelles vous vous êtes senti dérangé ainsi que les raisons pour lesquelles vous avez découvert quelque chose sur vous-même. 
  • En voyant tout cela, vous pourrez mesurer à quel point vous êtes en connexion avec vous-même.

Vous êtes presque en rendez-vous avec vous-même quand vous êtes en rendez-vous avec quelqu’un d’autre ! Qui plus est, avec cette personne que vous n’aimiez pas avec laquelle vous avez choisi de vivre cet amour gratuit. Forcément, dans cette action qui consiste à donner, vous recevrez. Quand on donne, on reçoit systématiquement.

Pratiquez cet exercice et si vous avez des questions, des remarques ou des réactions, je serai heureux de les lire, de les entendre et de vous retrouver la semaine prochaine pour continuer à avancer ensemble. 

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine

Bye bye 

Image par Royal Anwar de Pixabay

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