251# Mériter l’amour

Mériter l'amour

Contourner la béance d’un piège

Il vous arrive d’avoir l’impression de ne pas mériter l’amour. Ça veut dire que, dans l’autre sens, vous avez le sentiment que les gens qui vous entourent devraient mériter votre amour. Alors, que ce soit l’un ou l’autre des deux pans que je viens de décrire, c’est l’occasion de lire cet article aujourd’hui dans lequel j’aborderai mériter l’amour en trois points : 

  1. Est ce que l’amour se mérite ? 
  2. Quelles sont les implications de croire que l’amour se mérite et même de croire qu’il ne se mérite pas ? 
  3. Je vous présenterais une position que j’appelle une position saine

A l’écoute de la nature

Je reviens d’une semaine de pause dans laquelle nous lagon fêté mon anniversaire. C’était donc vraiment un moment chouette, passé avec ma femme, tous les deux en amoureux. Nous nous sommes baladés par-ci par-là. Nous avons visité des châteaux de la Loire, des endroits magnifiques à s’immerger en nature. Et justement, quand j’étais dans cette immersion et découvert la nature dans ces moments de pleine intensité.

Parmi ces expériences nombreuses, je pense à une rencontre. Elle s’est faute avec un agriculteur avec lequel on a échangé sur sa propriété. Il nous a fait découvrir son lieu de vie. Il nous a montré également son potager, son poulailler, ses oies qui faisaient office de chien de garde. Quelque part, disait-il «Il n’est pas possible que les renards viennent manger mes poules grâce aux oies. Elle sont de vraies chien de garde. 

Un tapis de pommes

Nous avons vu quelques pommiers qui étaient là, et sous ces derniers, un tapis de pommes. Elles ressemblaient à des Royal Gala. On les voyait bien rouges-jaunes, avec des tons verts par endroit. Nous avons alors demandé à l’agriculteur pourquoi il ne les récoltait pas. Il nous répondit « Non, non, elles ne sont pas bonnes. Vraiment ». Nous lui avons demandé si c’était lui qui avait planté les pommiers. Sa réponse négative. Il s’agissait de pommier sauvage. 

Alors, continue à l’interroger « Mais vraiment, elles sont si dures que ça et pas bonnes ? ». J’ouvre juste une parenthèse pour entendre le jugement de cet agriculteur qui n’a pas dit « je les trouve dures et pas bonnes », mais « elles sont dures et pas bonnes ». 

J’ai perçu une belle perspective quand il a dit « si vous voulez, vous pouvez goûter ! ». Il décida d’aller choisir deux pommes, une pour moi, une pour mon épouse. Je frotte un peu là, mienne et la croque. Et là, j’entre dans une expérience gustative sublime. Je trouvais la pomme croquante, juteuse, ferme, mais pas farineuse, sucrée. Je les ai vraiment trouvées incroyables. 

Une prise de conscience

J’ai eu la prise de conscience que les pommes n’étaient pas un problème, en soi. C’est uniquement l’expérience de l’agriculteur qui « abîmait » ces pommes. Et quand j’ai continué à discuter avec lui, j’ai vu qu’il avait deux incisives et qu’il lui manquait des dents par ailleurs. Les carences de dentition pouvaient expliquer sa difficulté à manger ses pommes. 

Alors que je lui ai dit « vous pourriez en faire du jus ou des purées ? ». Sa réponse est venue immédiatement, sans réflexion, « Non, non, non, elles ne sont pas bonnes, elles ne sont pas bonnes. ». Eh bien, vous savez qu’on en a ramené des sacs et qu’on est en train d’en faire des purées ? On en a croqué et on s’est régalé. 

Je trouve que ce genre d’expérience fait partie des pages enrichissantes à conserver en mémoire, à méditer. Elles méritent notre attention. Vous avez noté que j’ai envoyé le verbe mériter qui introduit bien notre sujet du jour. 

La nature fait grâce en quantité

D’ailleurs, un des éléments qui m’a marqué, c’est la quantité de pommes qu’un pommier pouvait porter et laisser au sol au passage. Pourquoi autant de pommes sachant que la mission du pommier est de favoriser le développement de l’espèce ? Pourquoi porter autant de pommes ? 

Parce qu’en réalité, sa mission est effectivement d’assurer le maintient de l’espèce, mais en même temps, il sera hyper généreux. Ainsi, donne tellement plus que nécessaire que ça permet aux autres d’en profiter. Or, ces autres sont des vivants qui ne méritent pas de manger ses pommes. Elles sont données par grâce. Ça commence déjà à mettre la puce à l’oreille de ma manière de regarder l’idée de mériter en lien avec l’amour. 

I. Le mérite en quelque mots

En fait, la notion de mérite est attachée à une valeur donnée, à un comportement. Il touche à une façon de fonctionner, ce qui est proche d’un comportement. En évoquant le comportement, j’adopte une approche générique qui touche à la façon de parler, d’agir, de travailler. C’est aussi en correspondance à ce qu’une personne attend de nous. Un moyen de limiter la déception éventuelle. 

L’ordinaire insuffisant

Dans le monde religieux, le mérite est ce qui est fait au-dessus du seul devoir. En d’autres termes, si vous avez fait ce que vous aviez à faire, il n’y a pas de mérite. Dans l’approche religieuse, on doit donc dépasser ce que l’on attendait de nous pour envisager de qualifier l’action de méritante. C’est très proche de la notion de dignité. On est digne quand on a dépassé son propre devoir. Peut-on mériter l’amour ? 

flinguer son existence

Comment flinguer son existence 

Certains se disent « si on ne m’aime pas, c’est parce que je ne mérite pas l’amour, je n’en fais pas assez. Je ne suis pas à la hauteur. Je suis peut-être trop ordinaire. Du coup, je ne suis pas digne d’être aimé ». Si vous voulez flinguer une existence, nourrissez cette façon de penser. 

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Évidemment, je souhaite que vous ne flinguiez pas votre existence. Je souhaite que vous adoptiez un regard sur vous qui soit sain. C’est pourquoi je terminerai cet article avec la troisième partie sur une approche équilibrée et saine. Ainsi, vous pourrez vivre la relation à l’autre en vous enrichissant.

Les racines du mérite

Regardons l’étymologie du mérite. En en latin, mérite se dit meritum. Il se traduit aussi par gagner. On peut donc comprendre que le mérite est réservé aux vainqueurs, aux gagnants, presque aux meilleurs, ceux qui sont au-dessus du lot. C’est la raison pour laquelle, quand on se sent ordinaire, on a tendance à croire qu’on ne mérite pas. 

En fait, est-ce que quelqu’un d’ordinaire mériterait ? Je vous laisse quelques secondes pour réfléchir à cette question. Est-ce que si vous êtes ordinaire, que vous ne sortez pas du lot, vous devriez mériter quelque chose ? 

Certains pensent par l’affirmative en disant « oui, même si je suis ordinaire, je devrais mériter quelque chose ». Or, si c’est ce que vous pensez, vous vous trompez. Il n’y a pas de raison que vous méritiez quelque chose si vous êtes, si votre action, est ordinaire. 

Revenons à la définition religieuse du mérite. Si vous faites quelque chose d’ordinaire, résultat de votre devoir, (ce que vous deviez faire), vous ne serez pas méritant. Il n’y a pas de place pour le mérite dans cette condition. Le mérite trouve sa place quand vous êtes au-dessus, uniquement. Par conséquent. En-dehors de cela, il n’y a pas de mérite.

Peut-on mériter l’amour ?

Seulement, quand on parle de mériter, de gagner, il me paraît important de comprendre que l’on peut mériter ou gagner tout ce qu’on veut, sauf l’amour. Chercher à mériter ou à gagner l’amour est une erreur de démarche intérieure. Nous ne pouvons pas envisager une relation saine quand on est campé dans une manière de penser ou de fonctionner qui attache le mérite à l’amour. 

À partir du moment où il y a du mérite ou du gain, ça ne peut pas être de l’amour. Je dirais même que les deux grandes « choses » qui sont exemptes de mérite (ou qui ne peuvent pas du tout être attachée au mérite) sont la vie et l’amour. 

Vous n’êtes pas vivant parce que vous le méritez

Vous n’êtes pas vivant parce que vous le méritez. Vous n’êtes pas les enfants de vos parents parce que vous le méritez. Tout ce que vos parents ont fait pour vous, ils ne l’ont pas fait parce que vous le méritiez. Même si eux ont parfois pensé que vous deviez mériter ce qu’ils faisaient pour vous. Si tel a été le cas, c’est faux.

Vous avez reçu de vos parents ce qu’ils vous ont donné parce qu’ils devaient vous les donner. C’était un devoir parental que de donner le nécessaire ; le gîte, le couvert, les vêtements, la nourriture et tout ça. C’est aussi un devoir parental que de donner de l’affection à son enfant et, par conséquent, de l’amour. Il n’y a pas besoin d’attendre que l’enfant le mérite. 

L'amour ne se mérite pas

II. L’amour ne se mérite pas

L’amour ne se mérite pas. L’amour ne se gagne pas. À chaque fois on fait appel au gain ou au mérite, on est en relation avec un résultat : 

1. La relation au résultat

Est-ce qu’on peut évaluer le mérite de l’amour par rapport à un résultat ? Non. Pour un travail ou un exercice, une chose à faire ? Oui. Mais l’amour est-il une chose à faire ? Non. C’est une chose à vivre, à expérimenter, à recevoir, à donner, à partager. Donc on n’est pas dans une dimension qui pourrait ouvrir la porte à une recherche de résultats. Aucune relation aux résultats. 

2. Le piège de la comparaison

Quand on est en relation avec le gain ou le mérite, on est en lien avec la comparaison. De fait, on cherche à se situer par rapport aux autres. Or, aborder, il est question de mérite uniquement quand ce que l’on fait se situe au-dessus de ce qui était attendu. Ça veut dire qu’on va comparer ce qui est fait à ce qui était attendu : « Voilà le niveau que j’attendais de toi…, « Voici le résultat que je voulais…». Ou encore, « j’aspirais à voir tel comportement » ou « te vois que tu es au-dessus de mes attentes,… par conséquent, il y a mérite, tu as gagné ». 

Mais aussi une comparaison par rapport aux autres : « Les autres arrivent à tel niveau, les autres sont capables de… Je vois que tu es capable de plus que les autres font… ». Il y a donc mérite ou gain. Comment intégrer ça dans l’amour ? Impossible. Ça n’a aucun sens. 

3. Un état d’esprit de concurrence.

Le troisième aspect qui peut être attaché à la notion de gain ou de mérite est la concurrence. Cela veut dire que l’on aura tendance à faire plus pour mériter. Dans l’amour, il n’y a pas de concurrence possible. Le gain et le mérite ne peuvent pas être attachés au résultat, à la comparaison ou à la concurrence. 

Plaire ne devrait pas être en lien avec l’amour

Encore une fois, l’amour ne se mérite pas. Il ne se gagne pas. Ça veut dire que l’on décidera de mettre un stop quand il sera question de chercher à gagner ou à mériter l’amour. Et ça se résume dans un verbe qui existe en français. Il s’agit du verbe plaire. Quand vous sentez que vous cherchez à plaire ou que vous espérez que les autres vous plaisent, c’est que vous avez la pensée que l’amour devrait se mériter ou se gagner. 

Le recto-verso d’une vérité

Le revers de la médaille, c’est que si vous donnez votre amour à des gens qui doivent le mériter ou le gagner, vous aurez également tendance à chercher à mériter et à gagner l’amour pour vous. En fait, ça fonctionne, malheureusement, dans les deux sens. C’est sans doute parce que vous avez vécu un parcours dans lequel vous avez eu le sentiment d’avoir à mériter l’amour. Du coup, vous fonctionnez comme ça avec les autres, en n’aimant que les personnes qui, selon vous, le méritent ou doivent le gagner. 

Un background révélateur

Qu’en était-il pour vous ? Est ce que vous avez le sentiment que vous ne méritez pas l’amour parce que vous n’êtes pas dans les clous de ce que vos parents attendaient ? Vous n’avez pas la profession que vos parents attendaient. Peut-être est-ce le sexe que vos parents attendaient. Peut-être n’êtes-vous pas en couple, ou bien le conjoint avec lequel vous êtes ne correspond pas à ce que vos parents voulaient pour vous. Il peut également y avoir un fossé entre les attentes de vos parents et l’image que vous avez de la société, du couple, de votre couple en société. Si tout cela ne correspond pas à ce que les autres attendaient de vous, vous pourriez être tenté de chercher à mériter l’amour. 

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Ouvrez votre Cahier de Vie

Peut-être que d’autres choses peuvent entrer dans cette liste que vous pouvez choisir de dresser sur votre cahier de vie pour prendre conscience de ce qui coince finalement dans votre quête à mériter l’amour ou à attendre que les autres méritent votre amour. Que ce soit vos enfants, vos collègues, vos amis. Alors c’est peut-être un petit peu biaisé dans la mesure où l’on se dit, « ben oui, c’est quand même normal que mes amis, mes collègues méritent mon amour parce qu’on est dans une relation élective.

On n’a pas choisi ses enfants, mais on a choisi son conjoint parce qu’il nous plaisait quelque part. On a bien débuté la relation sous l’angle du mérite. On a cherché à plaire à notre conjoint pour mériter son amour. 

Vous comprenez que ça biaise la conviction profonde d’être aimé par l’autre. Parce que, « qui dit que s’il découvrait un aspect de moi, si je me laissais vraiment aller comme je suis, qu’il m’aimera encore ? Est-ce que je mériterais encore son amour ? Vous mesurez que le mérite en amour peut poser un problème, tant sur le plan conjugal qu’amical. Ces deux mondes sont fondés sur une sorte d’élection puisque vos amis existaient avant même que vous ne les rencontriez. 

Si vous avez des enfants, ils n’ont rien à mériter de vous. Rien, absolument rien. Même si j’entends que vos amis et collègues peuvent envisager d’être en relation avec vous s’ils le méritent. Même si comme je l’ai dit, ça peut quand même être tendancieux. Une fois encore, l’amour ne se mérite pas, il ne se gagne pas. 

III. Vers des relations saines

Si vous baissez votre tendance à attendre que les autres vous plaisent ou à chercher à plaire aux autres, vous verrez que la pression baissera et que vous aurez beaucoup moins de stress. Bien des tensions disparaîtront tout comme certaines d’angoisses et maladies, par conséquent. Vous créerez de la place pour des relations beaucoup plus saines. 

La relation gratuite

Certaines relations entretenues avec des amis ou des personnes de votre entourage n’existeront plus. Finis. Ces gens disparaîtront de votre entourage. Et puis d’autres qui, a priori, ne vous plaisaient pas, s’avéreront profondes, sérieuses, engagées et gratuites. Oui, parce qu’en fait, à partir du moment où il y a du mérite ou du gain, il y a une sorte de paiement quelque part. L’inverse de cela, c’est la relation gratuite. Gratuite. 

Je sais que c’est quelque chose qui n’est pas évident dans notre environnement personnel, mais envisagez des relations gratuites. Lancez-vous dans le vrai, dans le fond, dans le profond, même. Mettez-vous à penser, « Je ne t’aime pas parce que tu le mérites. Je t’aime parce que je suis moi. L’amour que je te donne ne dépend pas de toi. D’ailleurs, je voudrais que l’on vive cette relation dans les deux sens. C’est-à-dire que tu m’aimes, non pas parce que je suis moi, mais parce que tu es toi. Aime-moi parce que tu es toi s’il te plaît.

Ça veut dire que je peux être à côté de ce que tu aurais voulu, ou peut être même que tu baisseras tes attentes à mon égard. De plus, ça pourra aussi dire que je pourrai me tromper sans me sentir rejetée. Du coup, je pourrai être moins parfait, moins performant, avoir des résultats qui diffèrent, qui soient inférieurs à ce que tu aurais attendu sans que cela impacte notre relation ». 

Un peu bousculé ?

J’entends que vous puissiez vous sentir tout drôle de lire ce que je viens d’écrire. Prenez donc quelques minutes pour réaliser à quel point votre vie changerait. Voyez combien vos relations seraient différentes, tout comme votre parentalité, votre relation enfant-parent. Et sans aucun doute, quand vous verriez quelqu’un qui attend que vous méritiez son amour, vous entendriez que cette personne-là n’a pas appris ce qu’est l’amour. Elle l’adosse encore au mérite. Elle n’a pas appris. Peut-être un jour comprendra-t-elle ! 

Vous pourrez vous sortir d’une envie de juger parce que vous saurez que l’amour ne se gagne pas. L’amour ne se mérite pas.

  1. Vouloir mériter l’amour, c’est signer à l’idée de ne pas être soi. C’est chercher à correspondre à un autre, c’est entrer dans un enfermement. 
  2. Accepter de ne pas mériter l’amour, c’est choisir d’être soi. C’est accepter la différence et la liberté d’être, d’être qui l’on est et peut être même de changer l’être soi. 

Retour au Cahier de Vie

Si vous cessiez de chercher à plaire, qu’est ce qui changerait dans votre vie ? Voilà une question à laquelle vous pouvez répondre sur votre Cahier de Vie. Qu’est-ce qui changerait si vous étiez vraiment vous, que vous cessiez de chercher à mériter ? Que vous cherchiez à accepter de ne pas être aimé ? Qu’est-ce qui changerait dans votre vie ? 

Attention au fantasme effrayant

Je voudrais vous rassurer sur l’idée ; vous ne vous exposez pas à un réel danger en étant vous-même. Vous ne vous retrouverez pas dans votre coin, isolé, sans aucune relation. Non, vous vous retrouverez avec des personnes qui vous aimeront ayant compris que l’amour ne se mérite pas. L’amour, c’est gratuit, c’est un cadeau, une grâce. 

Passez par l’écrit est libérateur 

Je vous invite à travailler par écrit sur ce sujet, à prendre le temps de méditer, peut-être ce soir ou demain matin. S’il vous plaît, posez-vous en écrivant, « qu’est ce qui changerait dans ma vie et qu’est ce que je pourrais révéler de moi dans ma manière d’être ? Peut-être même en parlant à un ami, à mon compagnon ou ma compagne ? », si vous êtes en couple. Ainsi, vous pourrez vous rapprocher de vous et baisser l’envie de chercher à plaire. Augmentez le besoin d’être vous, de vous accepter comme vous êtes avec la plus grande des bienveillances. 

Un jeu d’échange

Demandez la bienveillance à la personne à laquelle vous parlerez de cela en disant, « là, je vais faire un exercice recommandé par Pascal. C’est un grand pas que je fais, un saut, même. Je vais me montrer tel que je suis. S’il y a des choses qui te gênent, je suis prêt à les entendre. Mais je crois que c’est vraiment important que tu choisisses de m’aimer pour qui je suis plutôt que pour la personne que je te donne l’impression d’être dans notre relation. Es-tu d’accord ? ». 

Je pense que vous avez compris que vous pouvez partager ce podcast avec les personnes qui vous entourent et qui pourraient être intéressées. Peut-être pouvez-vous le faire justement avec des personnes auxquelles vous allez vous adresser pour partager le dernier pan de l’exercice que je vous ai présenté ici, cette approche saine d’une relation gratuite. 

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J’attends vos questions, vos étoiles sur Apple Podcast et Google Podcast. Et si vous avez des difficultés, bien sûr, partagez-les-moi dans les commentaires ou bien profitez des 30 minutes offertes en allant sur Go ! Je passe à l’action de manière à ce qu’on prenne le temps de s’entendre sur ce qui vous paraît difficile. J’écouterai votre perception des choses avec attention et bienveillance. 

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine. 

Bye bye !

2 commentaires

    1. Sidonie, je te remercie pour ton retour. Je suis ravi que tu aies trouvé dans cet article un contenu enrichissant.
      Je te souhaite de l’utiliser de façon concrète dans ta vie quotidienne.

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