160# Je veux sortir d’une relation toxique

Je veux sortir d’une relation toxique

Découvrez comment en sortir par le haut

La semaine dernière nous avons vu que la toxicité pouvait être présente chez des proches de tels que des parents, des frères, des sœurs, des amis. Par conséquent, nous sommes plus touchés par la toxicité émise par ces personnes. D’où l’intérêt de venir en aides à ceux qui se disent : je veux sortir d’une relation toxique.

L’affection rend le poison plus puissant

Bien entendu, il y a une interprétation de l’évaluation de l’intensité liée à l’attachement affectif que l’on a vis-à-vis d’une personne estimée comme étant proche de nous. Si une personne pour laquelle nous n’avons aucune relation nous dit « tu es moche », cela n’aura pas le même impact que de l’entendre dire par notre mère ou notre cher ami d’enfance. C’est nous qui décidons inconsciemment de placer le curseur d’intensité plus haut parce qu’il s’agit d’une personne proche.

Sur le plan rationnel, cela n’a aucun sens, mais sur le plan psycho-émotionnel, purement irrationnel, c’est tout à fait pertinent.

Du coup, cette coloration relationnelle nous impacte davantage quand une personne fait montre de toxicité, en parole ou en action, et qu’elle est proche de nous.

Évitons de confondre : personne toxique et actes ou paroles toxiques

Je rappelle, comme nous l’avons dit, que la personne n’est pas toxique en elle-même. Ses actions ou ses paroles le sont. Je propose donc de faire une distinction claire pour ne pas enfermer l’individu dans une boite de toxicité. C’est d’autant plus important qu’il est tout à fait «entendable» que la personne fasse preuve de toxicité à certains moments ou dans certains domaines. 

Cela s’explique par le fait que cette personne peut être tout à fait à l’aise et en confiance dans des domaines précis. Du coup, elle ne ressent absolument pas le besoin d’entrer en comparaison. 

Par contre, dans les domaines dans lesquels elle manque de confiance en elle, elle peut dégainer très vite et laisser échapper une véritable toxicité.

Tout cela dépend de la sensibilité de chacun. Quoi qu’il en soit, n’enfermons pas la personne dans une toxicité, choix inhérent à un regard bienveillant, chose sur laquelle j’ai vraiment insisté et que je rappelle aujourd’hui.

Soyez bienveillant par choix, n’attendez rien du  hasard 

Quand quelqu’un vous dit « je ne sais pas pourquoi tu es là, tu ne sers à rien » vous n’êtes pas obligé de vous vexer. Bien entendu, vous le pouvez, si vous le voulez. Mais vous pouvez décider de prendre conscience que la personne qui vous dit cela vit un problème. Elle cherche à régler des comptes avec elle-même, pas avec vous. Cela n’a absolument rien à voir avec vous.

Évitez de prendre les remarques pour vous en vous sentant blessé, en vous accrochant à des pensées dont certaines ressembleraient à « pour qui elle se prend ? De quel droit me dit-elle cela ? ». Avec un regard bienveillant, vous pouvez vous dire « elle débloque. Je ne comprends pas pourquoi elle dit ça ».

Faites de la bienveillance un tapis, une dalle, une fondation relationnelle qu’il soit question de passer du temps dans des relations toxiques ou non. 

Eviter le jugement à tout prix

Cela dit, face à une personne toxique, il peut être aidant de prendre conscience de votre intention de bienveillance. En effet, elle a pris une telle habitude de se juger sévèrement que ce naturel débordant, elle jugera les autres avec aisance. Du coup, quand elle reçoit la bienveillance, elle peut être quelque peu secouée. 

Si vous jugez des personnes toxiques, elles risqueront d’augmenter davantage leur toxicité. Elles considèreront le jugement porté sur elles comme si on leur appuyait sur la tête pour mieux les enfoncer. Elle se sentiraient écrasées par leurs propres limites ou leur culpabilité. Elles auront donc pour réflexe de se débattre plus encore en distribuant des coups.

Mieux vaut éviter d’entrer dans le jugement avec des phrases cinglantes qui pourraient ressembler à « tu me dis ça, mais, tu t’es vu toi ? ». Agissant ainsi, vous donnerez des bâtons pour vous faire battre. 

La violence verbale se nourrit de violence verbale et la tendresse se nourrit de la tendresse. Plus vous serez tendre et plus on le sera avec vous. Plus vous serez violent avec une personne et plus il y a des risques qu’elle le soit avec vous sauf si, dans sa démarche d’émotion de peur, elle opte pour la fuite ou le figement. Mais si elle opte pour l’affrontement, vous en prendrez plein la figure. 

Le paradoxe de la bienveillance appliquée

Avec la bienveillance, on évite de rentrer dedans sauf s’il est question de situation de secours dans le cadre d’une survie. Le jugement sera donc étranger à notre démarche vis-à-vis d’une personne considérée comme capable d’actes et de paroles toxiques.

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Attention, parce qu’il est important que vous soyez conscients que la bienveillance peut aussi participer à augmenter sa toxicité.

Vous me direz « Pascal, mais ce n’est pas possible ! Si on juge, elle devient plus toxique et si on est bienveillant, elle devient également plus toxique ! ». 

La bonne nouvelle est que la toxicité n’est pas systématique, suite à une marque de bienveillance. 

La personne peut le devenir si elle pense être écrasée par la bienveillance dont vous faites preuve. Souvenez-vous que la personne toxique vit dans un besoin fréquent de comparaison aux autres. Elle est tellement en manque de confiance en elle qu’elle a besoin d’écraser les autres pour avoir l’impression d’être bien dans le domaine dans lequel elle se sent plus en confiance. Elle a besoin de se rappeler qu’elle arrive à faire certaines choses mieux qu’un autre. Et quand elle ne parvient pas à se sentir supérieure, elle travaille à minimiser la qualité, la compétence ou le savoir-faire d’un autre pour signifier qu’elle n’est pas la seule à ne pas savoir faire.

Si vous faites donc preuve de bienveillance, vous pourrez peut-être voir augmenter la toxicité de la personne si la personne pense que vous êtes au-dessus d’elle, qu’elle vous imagine comme meilleur qu’elle et que vous êtes capable de bienveillance alors qu’elle ne l’est pas.

Mais, à vrai dire, dans la balance, préférez-vous être jugeant et condamnant ou bienveillant ? Sans réflexion approfondie, préférez être bienveillant, s’il vous plait, quelles qu’en soient les conséquences. C’est bien mieux pour vous-même, d’abord en plus de l’être pour la personne qui fait montre de toxicité. Si elle ne profite pas de la bienveillance offerte, elle en est seule responsable. Mieux vaut faire acte de bienveillance que de jugement, même si cette dernière est mal accueillie.

Cela dit, si la bienveillance est bien accueillie, cela peut servir de chemin pour que la personne se dise  « malgré ce que je lui dis et lui fais, il fait preuve de bienveillance ! Peut-être pourrai-je envisager de changer ».

Les actes et les paroles toxiques ne font pas de l’émetteur un malade

Cela permet d’ouvrir une parenthèse sur le fait que nous parlons de relation avec des personnes qui font montre de toxicité verbale ou factuelle. Vous notez que nous ne sommes pas en train de parler de personnes atteintes de troubles psychiatriques. Parmi elles, on pourrait mentionner :

Cet article ne parle pas de ces pathologies d’autant que, sur le plan psychiatrique, on ne peut pas envisager de guérison ou de changement réel des personnes atteintes de ces troubles psychiatriques. 

Sans parler de l’approche psychiatrique, pour qu’une personne change, il importe qu’elle aspire elle-même a changer. Ce n’est pas une pression extérieure qui conduit une personne au changement. 

On le voit dans le milieu carcéral dans lequel on propose ou on impose un accompagnement. Dans certains cas, ce dernier est suivi parce que le détenu aspire à bénéficier d’avantages dont, des allègements de peine. Par contre, quand cela provient d’un choix personnel, parce que la personne estime avoir besoin de changer, elle le fera avec une meilleure progression. Elle entrera dans cette démarche en pensant « je ne peux plus, je ne veux plus être comme ça. Je ne me supporte plus quand je suis comme ça». 

Or, quand la personne qui n’est pas atteinte d’un trouble psychiatrique parmi ceux que j’ai mentionnés ici a envie de changer, si elle veut vraiment changer elle réellement le faire. C’est quand même une bonne nouvelle.

A ce stade, je vous demande de continuer à vous dire : Je veux sortir d’une relation toxique

Parlons de votre propre toxicité 

Cela dit, comme je l’évoquais la semaine dernière, la toxicité n’est pas réservée aux autres. Vous êtes aussi concerné même si c’est de manière épisodique, ponctuelle ou rare. Vous avez pris conscience que vous êtes aussi capable de dire à quelqu’un « ce que tu fais est nul ! Je ne sais pas pourquoi tu t’es pointé aujourd’hui. Tu aurais mieux fait de ne pas te lever » ou « Je ne sais pas comment tu fais pour manger ce truc-là parce que ton plat est tout simplement dégoûtant ».

On est bien dans une réalité toxique. Nous sommes donc tous concernés par ce risque de toxicité. À partir du moment où l’on en est conscient, on peut choisir de changer. Avant d’envisager un éventuel changement, une prise de conscience « je suis capable de formuler des paroles toxiques » est nécessaire. J’ai donc besoin de mesurer que certains de mes propos et mes actions participent à abîmer l’autre. 

Comment se positionner face à une personne qui a des actions des paroles toxiques ?

J’ai déjà parlé de la bienveillance la semaine dernière et vous avez compris que j’insiste encore pour le faire aujourd’hui. Elle est nécessaire.

La bienveillance a pour avantage de vous procurer du bénéfice à vous-même. Ce qui fait de vous le bénéficiaire de cette dernière, c’est que c’est vous qui la mettez en œuvre. Gardez cet objectif devant les yeux pour vous encourager à la pratiquer.

relation toxique

La bienveillance est une ouverture à double sens

En adoptant une posture de bienveillance, vous vous positionnerez dans l’écoute. Et vous le ferez avec une approche d’ouverture, parce qu’elle est propre la bienveillance.

Quand quelqu’un me dit « ce que tu fais est nul », si je veux faire preuve de bienveillance, je tendrai la perche pour m’ouvrir à ce qu’elle a voulu dire.

Pour ce faire, je pourrai m’appuyer sur quatre questions de base. Quelque part, ce sera une façon de dire « je veux rester ouvert et, en même temps, je te donne l’opportunité de t’ouvrir toi-même ». C’est bien le propre de la relation, du lien qui se tisse entre deux personnes et qui permet d’enrichir les deux protagonistes de la relation. On pénètre donc dans une relation qui s’ouvre au lieu de se fermer

Si la personne qui fait un acte toxique ou dit une parole toxique se retrouve face à une attitude de fuite (de par une absence de dialogue), ou à de la violence (parce qu’on lui rentre dedans), on installe une fermeture. 

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Dans ce cas, on participe à lui donner une victoire, lui laissant le plaisir de se nourrir de sang comme le font les vampires. Par contre, si l’on entre dans l’ouverture relationnelle, on participe à faire qu’elle s’ouvre elle-même. 

Certaines personnes auront peur de s’ouvrir, et c’est normal. Quand on s’ouvre, on est dans la symbolique du déshabillement dans laquelle on enlève des couches et des couches de soi-même pour que l’autre voit ce qui se passe dans notre coulisse intérieure. 

Attendons-nous à ce qu’une personne ait peur de cette démarche parce qu’elle pense «Il est donc possible que tu vois que je manque de confiance en moi, que je n’aime pas, que je suis mal dans ma peau. Or, c’est une chose que je tiens à protéger à tout prix ».  

Vous comprenez que la personne aura besoin de se protéger. Ce ne sera donc pas forcément évident tout en demeurant possible à vivre. Et moins on a l’impression que la parole ou l’acte est grave et plus il devient envisageable de vivre ce dépouillement que j’ai appelé déshabillement.  

Une première question peut commencer par : Pourquoi ? 

Si quelqu’un dit « tu seras toujours incapable tout à l’heure, toi ». Vous pouvez lui poser la question suivante : pourquoi me dis-tu cela ?

Le pourquoi se réfère au passé. Il sous-entend « quelle est la motivation qui te pousse à dire ça aujourd’hui ? Quel est ton mobile ? ».

Si vous posez cette question, portez votre attention sur ce qui motive la personne dans sa démarche. Et tant que vous n’avez pas obtenu de réponse, répétez la question.

  • Oui, j’entends ce que tu dis, je voudrais vraiment que tu répondes à ma question. Qu’est-ce qui te motive à dire ce que tu avances ?
  • Non, mais, tu sais, …
  • D’accord. Et à cause de quoi dis-tu cela ?
  • Ben, je…

Tant que vous n’avez pas obtenu la réponse, reposez votre question.

– Donc, tu disais ? Pourquoi me dis-tu cela ?

Si vous avez écouté les podcasts Heureux au Présent depuis plusieurs années, vous savez que je recommande de poser la même question cinq fois. Au bout de trois fois, le mental humain a l’impression d’être au bout de lui-même. Normalement, à la troisième fois, vous devriez donc obtenir une réponse. Si ce n’est pas le cas, poursuivez vers une quatrième puis une cinquième fois. Je vous garantis une réponse en tenant à poser la même question. 

Une autre manière de commencer à formuler une question est : qu’est-ce qui fait que ?

On est encore dans la motivation ancrée sur le passé. Assez proche du pourquoi, cette formulation sous-entend que quelque chose s’est produit dans le passé au point d’orienter le présent. Il est donc question d’une émergence résultante sous forme d’action ou de parole. 

Il est aussi possible de poser une question en disant : dans quel but… ? Cette formulation se fonde sur la réalité que quelque chose s’est produit aujourd’hui et que la verbalisation vise une chose dans un futur plus ou moins proche. «Que vises-tu ?». 

Finalement, ces formulations peuvent ressembler également à « dans quel but dis-tu cela ? » Ou encore « qu’attends-tu de… ? »

Si je reprends l’exemple « tu seras toujours un capable d’être à l’heure », une des réponses pourrait être :

  • J’attends de toi que tu fasses preuve de ponctualité.
  • Et tu penses qu’en formulant les choses comme ça, je serai motivé pour être plus à l’heure ?

Par une telle question, je fais appel à de la cognition. C’est une démarche qui se fonde sur le principe de « tu penses ». C’est une chose qui fonctionne dans la tête. Si donc je dis « Et tu penses qu’en formulant les choses comme ça… » il y a très peu de chances que les personnes vous répondre par l’affirmative. Elle aura plutôt tendance à entrer dans une échappatoire en disant :

  • oui, on te l’a déjà dit plein de fois et, quoi qu’on ait pu dire, tu n’arrives pas à être à l’heure… .
  • As-tu une idée de ce qui pourrait peut-être m’aider à être à l’heure ?

Avez-vous remarqué que je poursuis avec un interrogation même s’il s’agit d’une question fermée ? Si la réponse est affirmative, je pourrais poursuivre par une écoute de type : 

– Alors, dis-moi, je t’écoute…

Si la réponse est négative, vous pouvez poursuivre avec : 

– Es-tu intéressé de le savoir ce qui m’aiderait pour … ? 

Par principe, je ne donne des réponses qu’aux personnes qui veulent savoir. Si je perçois que les personnes ne sont pas intéressées, je ne donne pas de réponse. Je trouve dommage de gaspiller du savoir quand l’intérêt est absent. Je préfère laisser les gens se réjouir de ce qu’elles pensent tant qu’elles n’ont pas fait la pas de s’interroger et d’interroger. 

Une personne faisant des actes toxiques exprime une attente 

Quand une personne dit quelque chose de toxique ou produit en acte de même nature, elle campe dans une attente. Elle reste dans la cohérence de sa recherche d’équilibre, comme nous l’avons évoqué la semaine dernière. Elle cherche donc un résultat. 

Vous pouvez donc aussi décider de vous arrêter avec elle sur sa quête de résultat en disant :

  • Maintenant que tu as dit ceci et fait cela et que j’ai compris que ton intention était celle que tu as décrite, es-tu satisfait du résultat ?

La personne pourra prendre quelques minutes avant de répondre ou ne pas le faire du tout. Si elle ne le fait pas, vous savez qu’il vous reste encore quatre occasions de lui poser la même question ! J’insiste pour que la question vise le même objectif.

  • Que penses-tu de l’impact de ce que tu as fait ? En es-tu satisfait ? Est-ce que tu as vu ce que tu voulais obtenir ? As-tu d’autres attentes peut-être ?

Posez-lui des questions pour l’amener à réfléchir.

Sortez de la toxicité, s’il vous plait

Vous voulez sortir d’une relation toxique ? Sortez-en par l’ouverture de votre relation toxique en posant des questions. Ainsi, vous participerez peut-être à faire changer cette dernière parce que, le fait de poser des questions signifie que vous êtes prêts à passer du temps avec cette personne, à l’écouter, à chercher à la comprendre. Quelqu’un d’indifférent ne pose pas de question. Elle serait déjà parti en courant depuis un moment après avoir distribué quelques baffes. 

En prenant le temps d’écouter, vous donnez de l’importante, tout en faisant confiance en une capacité de raisonnement, de réflexion, d’analyse. Écoutez ses mobiles est une manière de vous ouvrir à elle comme de l’inviter à s’ouvrit à son tour, à vous comme à elle-même. 

Ne serait-ce pas une autre manière de parler de bienveillance ?

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine.

Bye-bye  

7 commentaires

  1. Très bonne idée de poser cette question : « Pourquoi tu me dis ça ? » !
    Il y a encore peu de temps, j’ai été confrontée à une personne avec des paroles toxiques. J’ai été tellement choquée, que je n’ai pas su réagir.
    Cette question m’aurait beaucoup aidée ! J’aurais peut être pu en savoir plus sur son raisonnement.

    Merci pour cet article et ce conseil précieux.
    Je serai probablement moins désemparée la prochaine fois 🙂

    1. Author

      Sandra,
      Je te remercie pour ton retour et t’informe que, quoi qu’il en soit, la question est bien généralement un outil très aidant. Je t’encourage à l’utiliser plus fréquemment

  2. Très bonne synthèse qui ne se limite pas au « comment éviter » les personnes toxiques. Clairement savoir s’entourer fait une énorme différence dans la vie et l’épanouissement de chacun. Comprendre pourquoi et que nous pouvons nous aussi changer est la clé. Merci à vous

    1. Author

      Yes ! Que dire de plus si ce n’est que je te rejoins ?
      Bonne route à toi

  3. Sujet intéressant !

    J’essaye d’être bienveillant autant que possible au quotidien et en même temps j’ai remarqué que selon le niveau et les aspects de la toxicité de la personne, cela pouvait accentuer la chose (comme tu le dis).

    Merci pour ton article 🙂

    1. Author

      Hugo, la bonne nouvelle est que tu es le premier bénéficiaire de la bienveillance. Ne te prive donc pas de l’être même si la personne qui fait montre de toxicité n’en profite pas à bon escient.
      Bien à toi.


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