161# Savoir comment couper les ponts

savoir couper les ponts

Quand cette étape est nécessaire 

Savoir comment couper les ponts s’apprend, le saviez-vous ? D’autant que ce n’est généralement pas avec une grande joie qu’on le fait. La plupart du temps, c’est un signe de souffrance. Aucune personne n’est venue me dire qu’il avait coupé les ponts avec un grand sourire aux lèvres !

Une solution

Souvent, cette option est prise comme une solution, bien que ce soit à tord. Une solution est un aboutissement, la réponse à une attente. Le moyen est un chemin emprunté parce qu’il s’agit d’une voie d’essai comme pouvant déboucher sur une solution. Or, couper les ponts est souvent vu comme la nécessité du moment et bien souvent, par défaut.

La voie d’essai est une option que l’on va tenter pour voir s’il est possible d’apporter un mieux-être attendu. 

Remettre les choses en perspective

Peut-être est-il nécessaire de remettre les choses en perspective compte tenu du fait que le rendez-vous du jour fait suite à deux rendez-vous ayant porté sur des relations toxiques. 

Et justement, on passe généralement très vite à l’étape qui consiste à couper les ponts en se disant « Ouh, là, là; vu comme il est toxique alors, je coupe les ponts ».

C’est plus difficile d’envisager cette rapidité quand il est questions d’une relation avec un parent, un frère, amis très proches de se dire que l’on va couper les ponts. Cela demande davantage de réflexion, de prise de hauteur. Par contre, c’est bien plus facile avec une connaissance, un voisin ou un collègue.

Couper les ponts est un moyen qui a pour objectif d’arriver à une solution 

Pour plusieurs raisons, il est judicieux de couper les ponts. Attention, je n’en suis pas à pour dire que couper les ponts est un bonheur. Je ne vous encourage pas à le faire dès que quelqu’un vous prend la tête, vous saoule ou à des aspects de sa personnalité qui ne correspondent pas à ce que vous voulez ou même, fait preuve de toxicité. 

Toutefois, je tiens à vous dire qu’il est important de savoir couper les ponts parce que cette démarche fait partie des moyens dont nous disposons.

À quoi ressemble cette démarche ? 

Quand on choisit de couper les ponts, à quoi cela va-t-il ressembler ? L’intention qui consiste à vouloir couper les ponts est de prendre une certaine distance. On peut le regarder sous un autre angle en parlant de prendre de la hauteur. On peut aussi entrer dans cette démarche-moyen dans le but de

  1. Prendre de la distance
  2. Prendre de la hauteur
  3. Se centrer sur ses émotions
  4. Prendre conscience que l’on n’a rien à voir avec l’attitude de l’autre
  5. Poser des limites
  6. Se ressourcer soi-même
  7. Demander de l’aide 

Quand vous choisirez de couper les ponts, je souhaite vivement que vous soyez dans cette prise de conscience là, dans cette dynamique et cohérence d’un cheminement qui fait que vous ne coupez pas les ponts parce que : 

  • vous ne voulez plus voir la personne 
  • Il vous est devenu impensable de supporter sa présence 
  • vous voudriez qu’elle meurt ou disparaisse de votre paysage
  • Mais parce que vous voulez (1) prendre de la distance, (2) de la hauteur, (3) vous entrez sur vos émotions, (4) prendre conscience que vous n’avez rien à voir avec le problème, (5) poser des limites, (6) vous ressourcer et (7) demander de l’aide. 

La notion que je viens de vous présenter permet d’assainir votre motivation et de clarifier une réalité relationnelle. Cela clarifie un relationnel avec vous-même, avant tout. 

Encore de la bienveillance

Dans les deux rendez-vous précédents, j’ai insisté sur l’importance de la bienveillance. Je continuerai à le faire aujourd’hui. Continuez donc à faire preuve de bienveillance envers vous-même en prenant de la distance, en prenant de la hauteur, en vous centrant sur vos émotions, en prenant conscience que vous n’avez rien à voir avec le problème, en posant des limites, en vous ressourçant vous-même et en demandant de l’aide. C’est aussi faire montrer de bienveillance vis-à-vis de la personne dont les paroles vous paraissent toxiques que d’être capable de vivre ces 7 étapes dans votre capacité à couper les ponts. 

A priori, cette démarche produit deux bénéficiaires. Mais comme je l’ai déjà dit plusieurs fois, vous êtes forcément le premier des deux bénéficiaires de cette démarche fondée sur la bienveillance. 

Méfiez-vous du coup de tête

Évitez de couper les ponts sur un coup de tête. Méfiez-vous du « j’en ai vraiment ras le bol, je ne peux plus te supporter. J’en ai marre que tu me dises ça et que tu te comportes comme ça. Je ne veux plus te voir ! ». Parce que si vous prenez une telle décision sur un coup de tête, que reste-t-il de se produire ? Et oui ! La culpabilité, le regret et le remordss.  

Prévenir le risque de la culpabilité

La culpabilité a de réels inconvénients. Vous baignerez dans votre propre jus en pensant « oui, c’est vrai, j’ai coupé les ponts, mais… Et finalement… », cette sorte d’allées et venues vers des mobiles et vers une prise de conscience que votre décision était exagérée puisque prise sur un coup de tête. 

On ne prend pas de décision importante quand la charge émotionnelle est importante. Quand cette dernière est élevée, la capacité d’analyse et de jugement se trouve diminuées. Mieux vaut attendre que l’émotion soit redescendue pour profiter de sa capacité d’analyse, de réflexion et de décision.

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Limiter la croissance des remordss

Quant au remords, il est l’engrais qui accroît la culpabilité. Vous pouvez avoir des plans de culpabilité qui poussent à des vitesses incroyables, quelle que soit la météo. Quand le remords vient se déposer au pied de la culpabilité, cette dernière peut se décupler encore plus rapidement et solidement. Vous pouvez-vous retrouver avec un verger magnifiquement piquant et mal odorant poussant dans votre intérieur. 

Pour limiter ce risque, évitez de prendre des décisions de coupure relationnelle sur un coup de tête. Mieux vaut que celles-ci soient mûries, réfléchies et prises quand la charge émotionnelle est au plus bas.

Même si j’ai intitulé de ce rendez-vous « savoir comment couper les ponts » je préférerais utiliser l’expression « savoir prendre de la distance ». Mais comme l’expression «couper les ponts» est courante, je me suis référé à cette dernière.

Couper les ponts est un des symptômes de la guerre

Pour ma part, quand on emploie l’image de couper, on participe davantage à nourrir la culpabilité. Cela sous-entend qu’il n’y a plus de possibilités de communiquer. D’ailleurs, dès le début d’une guerre, les premières cibles frappées sont les aéroports, les gares, les ponts et les axes routiers principaux. Pour quelle raison ? Parce que l’on cible les moyens de communication. Compte tenu des guerres que nous avons vécues, en plus de celle que nous vivons actuellement, cela explique pourquoi l’expression « couper les ponts » a autant de prise dans notre réalité collective.

Prendre se la distance concerne les moyens de communication

Quand vous avez pris de la distance, la communication reste possible parce que les ponts existent encore. Dans cette configuration bien différente de celle qui consiste à couper les ponts, on laissera l’aéroport à sa place, on ne bombardera pas la gare et on ne touchera ni aux ponts ni aux axes principaux. 

Les canaux et moyens de communication resteront en état. C’est juste nous qui choisirons de les utiliser autrement.

Verbaliser ou pas ?

Vient ensuite le choix de verbaliser, ou de ne pas verbaliser, votre décision de prise de distance. Si vous êtes en mesure de le faire, vous pouvez le faire sans vous sentir obligé.

Il est possible de le faire par écrit à l’intéressé comme pour soi-même sur son cahier de vie, par exemple (voir : Rendez-vous avec vous-même). 

Quelle que soit votre décision, faites en sorte de mettre des mots sur votre décision sachant que le faire, vous procurera un bienfait à vous qui êtes le premier intéressé. « Je choisis de prendre la distance parce que je veux prendre de la hauteur, me sortir mes émotions, ne pas le prendre moi-même… et j’entreprends cette démarche parce que je ressens tels besoins… Je veux acquérir la capacité de regarder les choses autrement parce que…». 

Ensuite, le choix de le verbaliser à un intéressé est secondaire. Si vous vous sentez poussé le faire, allez-y, faites-le. 

Si vous vous sentez en mesure de partager avec l’intéressé les raisons pour lesquelles vous êtes dans cette démarche, accueillez l’idée que votre partage n’aura pas pour but d’être compris par votre interlocuteur. N’attendez pas qu’il vous dise « oui, je comprends tout à fait que tu veuilles prendre de la distance. Sens-toi à l’aise pour le faire… ». 

Ne vous placez pas en attente d’autorisation ou de validation puisque vous le faites pour vous. Donc, même si vous le verbalisez à l’intéressé, qu’il soit d’accord ou pas, qu’il vous envoie des pics ou non, mettez votre choix à exécution. Si vous craignez qu’il vous envoie des pics, écrivez-lui en étant conscient que les écrits restent.

Prenant conscience de cette réalité, comme je l’ai déjà dit depuis trois semaines, faites preuve d’une véritable bienveillance : 

  1. Écrivez votre brouillon plusieurs fois
  2. Réécrivez de manière à ce que la personne qui lira votre message comprenne que vous… l’aimez. 

Tenez à être bienveillant afin qu’elle comprenne que votre décision de prise de distance n’a  pas été enclenchée à cause d‘elle (restez avec moi, je m’arrêterai quelques secondes sur ce point dans un instant), mais pour vous.

Prenez de la distance parce que vous en avez besoin

Si vous vous mettez à rédiger votre lettre ou à verbaliser votre décision en donnant l’impression à la personne que c’est parce qu’elle est pénible et toxique que vous avez coupé les ponts, vous adoptez une approche irrationnelle. 

En réalité, cette personne pourrait avoir la même attitude avec quelqu’un d’autre sans que ce soit considéré comme étant toxique, pénible, inacceptable, blessant… Voyez-vous ? 

Vous vous sentez blessé, remis en question et vous trouvez pénible d’être en relation avec cette personne et c’est entendable. En même temps, comprenez que le soit commun entre tous ces ressentis c’est vous. 

Prenant conscience de cela, c’est pertinent de le verbaliser en « je ». C’est-à-dire que ma démarche n’aura pas pour objet de chercher à remettre en question la personne, voire pire, à la remettre en cause. Je ne lui écrirai donc pas en lui disant que j’aimerais bien qu’elle n’existe pas. Je n’insinuerai pas que je voudrais qu’elle devienne une autre. Il ne sera pas non plus dans ma démarche de conditionner la relation au fait qu’elle soit autre, différente. La démarche qui consiste à prendre la distance a pour but de vous préserver vous-même sans attendre que l’autre change pour s’adapter à votre sensibilité.

C’est tout bénéf.

Avez-vous remarqué que dans les 7 points que je vous ai mentionnés, le coeur de la démarche est de prendre de la distance ou de la hauteur pour vous-même. C’est vous qui : 

  1. prenez de la hauteur
  2. vous centrez sur vos propres émotions
  3. prenez conscience que le fait que ça n’a rien à voir avec vous-même
  4. Posez vos limites
  5. vous centrez sur vous 
  6. pour vous ressourcer vous-même
  7. puis demandez de l’aide 

et tout cela, indépendamment du profil de la personne. 

Quelque part, vous profitez de la prise de conscience de votre sensibilité à l’attitude de l’autre pour vous construire vous-même.

Finalement, je ne vous dirai pas de la remercier de sa toxicité dans votre courrier, mais il y a peut-être une prise de conscience liée à une opportunité pour dire « si je suis sensible et fragile, c’est que j’ai besoin de me construire. J’ai besoin de prendre de la hauteur pour réaliser pourquoi je le vis ainsi. Qu’est-ce que je trouve blessant là-dedans ? Ce n’est pas seulement que la personne est blessante, j’en prends conscience, si tant est qu’elle le soit, c’est que je le perçois comme tel. Ce faisant, je me pose des questions pour me demander ce qui se passe dans ma vie. Pourquoi est-ce que je ressens cela ? Pourquoi ai-je ressenti cette blessure à vif ? Et pourquoi ai-je eu cette impression d’être sali quand la personne est à ma présence ? Pourquoi suis-je si sensible quand elle formule les choses comme elle le fait ? Tout cela m’apprend beaucoup sur moi-même». 

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Créer une opportunité de changement

Je vous demande de saisir cette opportunité pour apprendre de vous-même. Apprenez sur vous-même pour changer (vous-même).

Quand je suis dans une démarche d’accompagnement avec des personnes et que j’arrive à ce stade, plusieurs me disent « il y a quelque chose d’anormal, car, si je comprends bien, vous me demandez à moins de changer alors que c’est la personne qui est toxique ! ».

J’entends cette impression d’injustice, seulement, quand vous changerez, le ferez-vous en mal ? Sera-ce en votre défaveur de changer ? Non ! Ce sera bénéfique. Non seulement ce sera bénéfique dans la relation avec la personne que vous considérez comme étant toxique, mais ce sera aussi bénéfique dans vos relations à venir avec de potentiels autres personnes dans les paroles et les actes pourraient vous paraître toxiques si vous ne changez pas. 

Vous êtes, une fois encore, bénéficiaire du changement, si je comprends bien. Alors, pourquoi vous priver de changer ? 

Percevez-vous la pertinence et la motivation qui pousse vers le changement ? Cette démarche de prise de distance, de hauteur, de centration sur vous-même, de pose de limite, de ressourcement et d’appel à l’aide est bénéfique pour vous. Changez parce que cela vous sera bénéfique à vous.

Les modalités de la prise de distance 

Ensuite, vous travaillerez sur les modalités pour savoir comment couper les ponts. Comment vivrez-vous cela ? Comment envisager cette prise de distance ? 

D’abord, comme je l’ai évoqué tout à l’heure, on veillera à conserver des moyens de communication.

De nos jours, avec un téléphone mobile, il est très facile de bloquer un contact ou de le supprimer de sa liste de contacts. Vous pouvez le faire, bien entendu, seulement, réfléchissez en amont, toujours avec la tête froide, pour savoir pourquoi vous le faites. Quelle est votre motivation, si vous allez dans cette direction ? 

Dans les modalités de prise de distance, vous pouvez décider de…

1. La durée de la suspension :

Par conséquent, le blocage ne sera pas mis en place ad vitam aeternam. Du coup, de temps en temps, la question se reposera pour savoir si l’on débloque le numéro et à quelles conditions.  Je m’interrogerai donc sur les signes que je veux voir pour nourrir ma décision. 

Notez qu’en parlant de signes, je ne parle pas de signes attendus en l’autre, mais bien en moi-même. Je me ré-interrogerai donc pour savoir si je me sens en mesure de renouer le dialogue. Si ma réponse est positive, je passerai à une autre étape, chose que je ne ferai pas dans le cas contraire. 

Pour que ce soit constructif, en cas de réponse négative, je m’interrogerai sur les raisons pour lesquelles je ne me sens pas encore en mesure de débloquer le numéro de téléphone. Ce sera peut-être le révélateur du fait que je ne sentirais pas en mesure de savoir dire non, de poser des limites, tout simplement de lui dire « je trouve son attitude inacceptable » ou à continuer à lui poser des questions ouvertes comme je l’ai recommandé la semaine dernière. 

Si je ne me sens pas en mesure de le faire, je peux profiter du temps de silence afin de poursuivre le travailler entrepris sur moi-même pendant que ce nom restera bloqué dans ma liste de contacts.

Quand la personne m’appellera, je pourrai répondre et lui dire « j’entends ce que tu me dis. Qu’est-ce qui t’amène à me dire cela ? Quelle est ton intention ? Par quoi es-tu motivé dans ta démarche en me disant ce que tu viens de formuler ?».

2. La distance géographique :

Si la relation distante était avec un proche, un voisin, un membre de la famille, il est tout à fait possible de créer une distance géographique même symbolique. En ce sens, on peut décider de moins fréquenter l’environnement dans lequel se trouve cette personne en veillant à ce qu’elle fréquente moins notre propre environnement.

Si vous avez des amis en commun, vous pouvez vous accorder avec eux.

Attention de ne pas nourrir des pensées d’hostilité. Je rappelle que cette démarche est à  fonder sur la bienveillance. Vous prendrez donc de la distance non parce que vous le détestez, ou que vous ne pouvez plus le voir ou que vous expirez qu’il est disparu (petit rappel !).  

3. La moindre fréquence :

Vous pouvez travailler sur la fréquence en vous disant « je veux bien le fréquenter, le croiser et discuter avec lui, seulement, compte tenu de mon propre seuil d’acceptabilité, je voudrais prendre conscience de la saturation de fréquence». Ainsi, vous pouvez le voir une fois par semaine, une fois tous les 15 jours une fois par mois selon votre seuil d’acceptabilité.

Vous savez que ne respectant pas ce dernier, la relation entraînera des répercussions en vous. 

Percevez-vous que ma formulation est encore « je » ? Je prends donc conscience de ma propre limite à supporter, à accepter, à prendre de la hauteur, à prendre la distance.  Cette démarche est donc mue par une intention de protection en vue d’une construction

Attentif aux signes, mais lesquels ?

Je resterai, de la même manière, attentif aux signes d’alerte présents en moi. Quand je me rendrai compte qu’en pensant à des situations passées, la charge émotionnelle à diminué ou que je n’ai plus le sentiment que s’il me disait « tu es toujours incapable d’être à l’heure », pour reprendre l’exemple de l’émission précédente, me sentant en mesure de poser des questions ouvertes, je me dirais « ça y est, tu peux te rapprocher, moduler la fréquence ne serait-ce que quelques temps, pour faire un essai ».

Que cette démarche soit encore fondée sur de la bienveillance vis-à-vis de soi-même comme vis-à-vis de l’autre. Souvenez-vous que la bienveillance participe à semer de la gratitude en soi-même.

La bienveillance, encore la bienveillance

Faites cette démarche avec bienveillance. Que vous essayiez de prendre de la distance, de baisser la fréquence, de baisser la durée des entretiens, de couper les ponts de manière plus ferme, faites-le systématiquement de manière temporaire, gardant l’ouverture à l’esprit

En plus, souvenez-vous que cette prise de distance est bénéfique pour vous. Il est hors de question qu’il s’agisse d’une punition ou d’une forme d’incarcération de l’autre. Ce n’est pas une punition pour vous-même non plus, ni une auto-incarcération. 

Travaillez de telle sorte que cette prise de distance participe à vous permettre de vous construire, à vous re-construire et à vivre de manière plus épanouie, plus équilibrée, après que vous ayez vécu les phases de déséquilibres avec la personne dont les paroles ou les actions vous paraissaient toxiques.

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine.

Bye-bye 

6 commentaires

  1. Merci pour cet article qui permet de se recentrer sur soi au final! 😉

    1. Author

      Fred, je suis ravi que tu ai eu la capacité de prendre l’article dans ce sens. En effet, il s’agit bien de se recentrer sur soi, au final.
      Au plaisir

    1. Author

      En effet. La bonne nouvelle est que « pas facile » n’est pas synonyme d’impossible. Cela demande plus d’implication et d’accompagnement. Mais bien des voies sans issues apparentes s’avèrent déboucher sur de nouveaux chemins.

  2. Merci pour tous ces conseils. Il est vrai que ce n’est jamais de gaieté de coeur ! en revanche j’estime vraiment que couper les pont c’est dire NON à la personne pour e dire OUI à moi-même.
    Et parfois c’est une étape libératrice. J’opte souvent pour la distance géographique.

    1. Author

      Oui Sabine, couper les pont (prendre de la distance, comme je préfère le dire) est bien une façon de se dire OUI à soi-même. C’est là tout l’intérêt. Du coup, cela exclut la volonté de pénaliser l’autre.

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