221# Le bonheur des gens ordinaires – Elisabeth Balestrieri (la suite)

Une pratique du bonheur simple et efficace

J’ai choisi de mettre le bonheur des gens ordinaires en avant. Les médias nous tartinent le bonheur des célébrités. Or, je constate que ce bonheur-là participe à accroitre la frustration et la convoitise en plus de l’impression parfois étrange d’être différent, pas normal, pas dans la case des gens heureux. 

C’est pourquoi j’ai créé cet espace « Le bonheur des gens ordinaires ». 

En regardant ce bonheur-là,  je veux que l’on prenne conscience du vrai bonheur, de réalités qui nous ressemblent et nous rassemblent, d’une expérience accessible qui vient résonner avec notre quotidien.

Je veux qu’on découvre des richesses vécues et qu’il fait bon entendre en plus d’avoir la possibilité d’y faire son « shopping » pour créer son bonheur à soi, pour vivre une vie ordinaire dans le sens d’une vie simple, vraie et heureuse. Tous ces qualificatifs sont pleinement compatibles avec vos vies, avec ta vie.  

Elisabeth Balestrieri

Aujourd’hui, notre entretien se poursuit. Nous verrons comment Elisabeth Balestrieri a installé son bonheur. En plus des clés partagées la semaine dernière, nous verrons qu’elle reçoit des réponses de l‘Univers.

Pascal Quionquion : Elisabeth, la semaine dernière, nous sommes quittés sur une question : comment as-tu appris à t’aimer ? voilà une question qui va peut-être surprendre ; comment as-tu appris à t’aimer ?

Elisabeth Balestrieri : alors là, c’est compliqué ! (Rires) c’est compliqué de s’apprécier et de s’aimer. Mais quand on arrive à le faire, sachant que la personne qu’on a le plus à aimer,  la plus à respecter, c’est soi-même, on le sait. Souvent, on se déprécie. On ne s’évalue pas à la hauteur de ce qu’on est réellement.

Pascal Quionquion : c’est ce que tu vivais, toi ?

Elisabeth Balestrieri : oui. Je me dépréciais. Et le fait de… (pause de réflexion), de le constater en faisant un retour sur moi-même dans lequel j’ai réfléchi à moi, à ce que je faisais comme à où j’allais m’a aidé à en prendre la mesure. C’est pareil, j’ai réalisé ce que j’étais capable de faire ou de dire. Petit à petit, je suis arrivée à me dire que j’étais importante. En fait, il faut s’aimer. 

Cet amour-là nourrit. Il s’agit d’un amour qui est comparable à une énergie, en ce sens qu’il nourrit. Il permet d’aimer les autres, aussi. Si on ne s’aime pas soi-même, comment faire pour aimer les autres ?

Trop de temps passé à ne pas m’aimer

Pascal Quionquion : sur ton parcours de vie, prends-tu conscience d’avoir passé beaucoup de temps à ne pas t’aimer, à ne pas t’apprécier ou était-ce vraiment épisodique ?

Elisabeth Balestrieri : ça a été une bonne part du parcours, quand même.

Pascal Quionquion : qu’est-ce qui a fait la bascule au point que tu te dises « ça y est, j’en ai marre, maintenant, je vais apprendre à m’aimer, à m’apprécier ? »

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Photo by Heloisa Vecchio on Pexels.com

Elisabeth Balestrieri : j’ai vécu pas mal de déceptions amoureuses. Dans ces dernières, je ne me suis pas sentie reconnue dans les yeux de l’autre. Ce n’est que lorsque j’ai mis un terme à cette vie à deux que je me suis dit « tu n’as pas besoin d’être aimée par quelqu’un ». C’est alors que je me suis retrouvée seule avec moi-même, mon amour, et toutes mes possibilités. J’ai rassemblé tout ce que je pouvais mettre en œuvre pour moi-même, pour aider les autres professionnellement, familialement aussi. C’est ce qui a fait mon chemin et qui m’a permis d’en arriver là.

L’intuition du nécessaire amour de soi

Pascal Quionquion : comme ça, spontanément, sans que quelqu’un te mette sur la piste ?

Elisabeth Balestrieri : c’est vrai que ça fait une vingtaine d’années que je suis très sensible à des techniques et des thérapies. À force d’entendre chaque personne me donner un conseil et me faire voir les choses différemment, j’ai réalisé que c’est tout un apprentissage. Ça ne s’est pas fait pas du jour au lendemain. C’est presque comme une éducation. Ça se forge, ça se construit. C’est comme une statue qu’on sculpte, que l’on façonne. On se façonne.

Pascal Quionquion : si j’entends bien, tu t’es façonner petit à petit, en utilisant des choses que tu as prise de ci de là…

Façonner activement le bonheur 

Elisabeth Balestrieri : oui, des lectures, des gens que j’ai rencontrés. Moi, je pars du principe que tous les gens qui s’adressent à soi-même, que ce soit la dame qui fait le ménage dans l’immeuble, mon directeur, une personne qui vient comme cliente au cabinet ou ma petite fille qui me dit quelque chose, ce sont des messages. Et j’en arrive à me dire « tiens, j’ai entendu ça. Ce n’est pas pour rien. Que vas-tu en faire et comment tu vas l’analyser ? ».

Faire de la vie est espace de matériaux pour se construire

Pascal Quionquion : donc tu cherches à utiliser ce que tu entends pour ta vie, pour progresser.

Elisabeth Balestrieri : oui, oui, oui. Même des signes. Je suis attentive aux signes.

Pascal Quionquion : de quel ordre ? 

Elisabeth Balestrieri : un livre que j’ouvre, dès la première page que je lis, ça fait écho, ça me parle.

Pascal Quionquion : tu te dis qu’il y a une rencontre ?

Elisabeth Balestrieri : oui.

Pascal Quionquion : est-ce à dire que tu as développé un état d’esprit d’ouverture et d’attention pour arriver à récupérer et à accueillir ce que tu entends, ce que tu lis ?

Elisabeth Balestrieri : oui c’est ça. Même s’il s’agit d’un accrochage en voiture, d’une dispute ou de choses qui n’ont pas forcément été agréables, je me dis « pourquoi ça s’est passé comme ça ? ». J’essaie de tirer quelque chose de positif de cette action.

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Utiliser les événements

Pascal Quionquion : tu te dis « qu’est-ce que je peux en faire ? »

Elisabeth Balestrieri : c’est ça, qu’est-ce que je peux en faire ? Pourquoi ? Ça, ça m’aide beaucoup. C’est sans doute aussi une forme de croyances, je ne sais pas.

Pascal Quionquion : en effet, mais c’est aussi un sens des responsabilités. En ce sens que tu n’y es pour rien si quelqu’un t’est rentré dedans. Tu n’es pas responsable de l’accident, mais tu es responsable de ce que tu vas en faire. 

Elisabeth Balestrieri : voilà, exactement.

Pascal Quionquion : et c’est aussi un outil magnifique pour construire son bonheur que d’être responsable de ses choix, finalement.

Elisabeth Balestrieri : oui. Dernièrement, j’ai perdu trois ou quatre choses qui me tenaient à cœur, dont mes papiers d’identité, un sac que mon fils m’avait offert, de l’argent. Et je me suis dit « voilà, maintenant, pose-toi. Pourquoi ça s’est passé comme ça ? ».

Pascal Quionquion : tu t’interroges ?

Elisabeth Balestrieri : par cette démarche, je commence à tout retrouver (rire)… pour mon plus grand bonheur. Mais je me dis que quelque chose est en train de te parler.

Pascal Quionquion : tu y vois quelque chose à entendre, à lire ou à recevoir. Une chose à utiliser ?

Elisabeth Balestrieri : oui, une chose à utiliser, c’est ça.

Pascal Quionquion : est-ce que je peux te redire « bravo » ou, « chapeau » ? (Rires) Vraiment, je te l’ai dit, parce que… Qui t’a appris, quand quelque chose t’arrive, à te dire « je vais me poser la question pour savoir ce que je peux en faire, même si c’est négatif » ? Où as-tu appris ça ? 

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Photo by Spencer Selover on Pexels.com

À l’écoute de ses ressentis

Elisabeth Balestrieri : je l’ai appris… ehhh, je ne peux pas dire l’avoir appris, mais je l’ai ressenti. Je l’ai ressenti comme ça.

Pascal Quionquion : et bien, il s’agit d’un ressenti qui est bénéfique.

Elisabeth Balestrieri : ça aussi, j’ai appris à faire, enfin, j’ai appris à être à l’écoute de mes ressentis. Le ressenti d’une personne ou d’un acte me parle. Ça fait écho, ça fait vibrer quelque chose en moi qui ensuite m’apporte des réponses. J’ai des réponses à ces questions-là.

Pascal Quionquion : tu reçois des réponses ?

Elisabeth Balestrieri : en effet, je reçois des réponses.

Pascal Quionquion : tu reçois, tu cherches ou tu crées les réponses ? Qu’est-ce que tu dirais ?

Elisabeth Balestrieri : peut-être que je l’ai créé, mais je les reçois aussi. Parce qu’il y a des choses qui m’arrivent pour lesquelles je n’avais pas forcément fait la démarche pour les recevoir.

Pascal Quionquion : ça devient quelque chose de fortuit, comme par hasard ?

Elisabeth Balestrieri : voilà,

Pascal Quionquion : ça vient en réponse à une préoccupation qui était là ?

Elisabeth Balestrieri : oui, je suis beaucoup à l’écoute des signes de la Vie.

Pascal Quionquion : est-ce que tu penses que c’est parce que tu restes à l’écoute que tu peux recevoir des réponses ? Quelque part, une situation de vie peut poser question parce que tu vis un événement qui pose question, mais si tu n’as pas envie et que tu es fermée, tu ne recevras pas grand-chose, du coup. Finalement, le fait de croire que tu peux recevoir une réponse et placera dans une position d’ouverture. Tu penses que c’est ce qui fait que tu reçois des réponses, que tu en voies ou que tu en crées ?

À l’écoute de l’Univers

Elisabeth Balestrieri : oui ! On ne voit pas forcément avec les yeux, parfois, on a quelque chose devant les yeux et qu’on ne peut pas voir. Là, c’est pareil. Si on n’est pas ouvert, qu’on n’est pas sensible, que l’on n’est pas à l’écoute de tout ce qui nous entoure, parce qu’il ne s’agit pas seulement de l’écoute de son corps, mais aussi de signes extérieurs, on risque de passer à côté de quelque chose.

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Pascal Quionquion : toi, tu choisis d’être à l’écoute, d’être sensible pour ne pas passer à côté et récupérer.

Elisabeth Balestrieri : exactement. Et j’ai eu beaucoup d’événements allant dans ce sens. Et si tu veux, je peux te raconter une histoire.

Pascal Quionquion : oui, je veux bien, je suis preneur, je t’écoute. 

Elisabeth Balestrieri : pendant 38 ans, j’ai été dans l’enseignement au sein de l’Education Nationale. En parallèle, j’ai fait mes études de naturopathie. J’alliais donc mon métier de prof et ma pratique de Naturopathe. À un moment donné, le cabinet a pris de l’ampleur. Je n’arrivai plus à concilier les deux. Alors, avant de prendre une décision, et pour éviter de le faire sur un coup de tête, j’ai choisi d’interroger l’Univers. 

À partir de là, comme je le fais le matin, j’ai demandé à l’Univers de me donner un signe pour me mettre sur la voie afin de savoir s’il était sur mon chemin de vie d’arrêter l’enseignement pour me consacrer à la naturopathie et à la réflexologie plantaire.

Trouver les réponses

Pascal Quionquion : et alors ?

Elisabeth Balestrieri : j’ai eu la réponse.

Pascal Quionquion : peut-on savoir comment ça s’est passé ?

Elisabeth Balestrieri : j’étais encore prof. Dans le cadre d’une journée pédagogique, le directeur a donné des sujets aux enseignants, sujets à travailler en collégialité, à plusieurs profs. J’étais donc avec six professeurs. On s’installe dans une salle et, à la fin, pour dire qui a travaillé sur quel sujet, on a fait un selfie.
Pour ce faire, on a placé le téléphone correctement et, quand ma collègue a envoyé le travail au directeur, elle lui a soumis la photo de ceux qui avait travaillé sur le projet. Il s’avère que je n’étais pas sur la photo. C’était mon avant-dernière année d’enseignement. Sur le moment, ça ne m’a pas fait tilt. Disons que ça ne m’a pas encore parlé.

Ensuite, je me demandais bien si la réflexologie plantaire était ma voie. Je commande une revue que personne ne connaît et qui s’appelle « Le point réflexe », un magazine qui a été créé par Mireille Meunier, magazine qui n’existe plus. Et je m’abonne à cette revue en étant intéressée par les articles qu’elle y a écrits. Une fois mon abonnement validé, je reçois un magazine qui date déjà de six mois. Quand je le feuillette, qui je trouve en photo ? Moi.

De la réponse naît la conviction

Pascal Quionquion : ah bon ?

Elisabeth Balestrieri : effectivement, j’étais en photo sur « le point réflexe ».

Pascal Quionquion : tu l’ignorais ?

Elisabeth Balestrieri : je l’ignorais totalement. Je ne savais pas comment on m’avait prise en photo. En fait, il s’agissait d’une photo qui datait d’une réunion du syndicat des Réflexologues. Et je ne savais pas du tout que j’avais été prise ce jour-là, et, encore moins que j’allais être sur «Le point réflexe», un magazine qui n’est plus dans les kiosques et qui était connu de personnes.

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Pascal, Quionquion : tu as alors porté plainte ! (Rires)

Elisabeth Balestrieri : pas du tout

Pascal Quionquion : au contraire, tu t’es dit, « c’est un signe » !

Elisabeth Balestrieri : c’est sûr. J’ai mis mes lunettes, j’ai bien regardé et, quand j’ai eu la confirmation que c’était moi, à ce moment-là, je me suis dit que j’avais la réponse. En conséquence, le matin même, je me suis rendu au lycée, j’ai dit à mon directeur « je quitte le lycée. L’année prochaine, tu ne me verras plus ». 

Un saut audacieux

Pascal Quionquion : c’est un peu brutal, non ?

Elisabeth Balestrieri : ah oui ! J’ai dit, « c’est fini, j’ai trouvé la solution ». À cela, il m’a répondu « comment tu vas faire puisque tu n’as pas l’âge de la retraite ? ». Pour moi, c’était clair, j’avais trouvé la solution. Et, de la même manière, j’ouvre un article sur les retraites et je m’aperçois qu’en étant mère de trois enfants, avec plus de 15 ans d’ancienneté, j’étais prise en charge par une retraite temporaire des enseignants du privé et j’ai été payée intégralement par l’éducation nationale.

Pascal Quionquion : ça s’est passé comme sur du papier à musique.

Elisabeth Balestrieri : ça a été incroyable. C’était donc véritablement ma voie. Et vu que je n’aime pas me lâcher d’une main et travailler sans filet en prenant des risques, j’avais besoin de cette sécurité. L’Univers m’a dit « c’est bon, tu peux foncer. Tu peux y aller ». J’ai donc eu ma sécurité. Pour moi, le langage était clair.

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Photo by Derek French on Pexels.com

Une dimension spirituelle

Pascal Quionquion : ça peut paraître bizarre de poser une question à L’Univers comme tu le fais. C’est devenu sérieux à quel moment d’interroger L’Univers ? Le faisais-tu sais quand tu avais 20 ans ? Est-ce que tu as vu des gens agir ainsi autour de toi ? Qui t’a appris à faire ça ? 

Elisabeth Balestrieri : non. Je ne sais pas, je ne sais pas.

Pascal Quionquion : un jour, l’envie de spiritualité, c’est éveiller en toi et…

Elisabeth Balestrieri : la spiritualité a toujours été plus ou moins là. Mes parents sont croyants, je suis de famille qui possède des dons. Ma grand-mère était rebouteuse. Mon père priait beaucoup. Il m’a toujours dit qu’il fallait se lever le matin en étant content de vivre et toujours garder espoir de tout. Donc, fort de cet exemple, avec ce père qui a foncé après son retour d’Algérie où il avait tout perdu, notamment son père, sa mère et son frère en l’espace d’une année. Ça a été terrible pour lui et en même temps, je ne l’ai jamais vu pleurer. C’était un homme combattant de première, un homme exceptionnel qui m’a donné cet exemple-là. J’ai toujours suivi cette façon de faire.

La mentalité de la gratitude

Pascal Quionquion : cette mentalité de la gratitude était présente déjà chez ton papa ?

Elisabeth Balestrieri : c’est juste, c’était déjà présente chez mon père.

Pascal Quionquion : c’est une bénédiction, n’est-ce pas ?

Elisabeth Balestrieri : oui.

Pascal Quionquion : tu as grandi dans un berceau dans lequel il y avait de la gratitude quotidiennement malgré des difficultés comme celles que tu as présentée, puisque, comme tu l’as dit, dans la même année, il a perdu son père, sa mère et son frère qui avait 28 ans.

Elisabeth Balestrieri : c’est juste, et ça a été une très grosse épreuve.

Pascal Quionquion : tu as donc vu ton père au bas du plus bas ?

Elisabeth Balestrieri : non, jamais. Jamais. Ses parents n’avaient quand même que 60 ans, et la perte de ses parents paraissait dans le cours des choses. Mais son frère ça a été très difficile. Pourtant, je ne l’ai jamais vu affaibli. Je l’ai jamais vu pleurer ou nous montrer quoi que ce soit.

Pascal Quionquion : c’est une génération dans laquelle on avait une manière de dire « je suis fort ».

Elisabeth Balestrieri : je crois que c’était dans ses gènes. Il a vécu jusqu’à 93 ans avec cette force-là.

Des ressources et des ailes

Pascal Quionquion : avant de terminer, je te propose de nous soumettre des livres, des reportages… Oui, je sais que tu n’y es pas préparée. Je vois ton visage qui manifeste de l’inquiétude. Mais dis-moi, aurais-tu un ou des livres à proposer comme ressources pour aider à être heureux. Il peut s’agir également d’un reportage, d’un documentaire ou d’un film. D’une chose qui t’a parlé que tu pourrais nous confier.

Elisabeth Balestrieri : alors j’ai un reportage qui m’a beaucoup plu. Je l’ai regardé en boucle et l’ai fait visionné à mes enfants. Il s’intitule « le secret ».

VISIONNER LE SECRET (video) première partie

La loi de l'attraction 1er vidéo le secret

Pascal Quionquion : le secret ? On le trouve sur Internet ?

Elisabeth Balestrieri : on le trouve sur Internet.

Pascal Quionquion : de quoi parle-t-il s’il te plaît. Je ne le connais pas du tout ?

Elisabeth Balestrieri : il présente le secret de la loi de l’attraction. Je l’ai regardé plusieurs fois. Il ne se regarde pas d’une traite comme on regarde un film ou un documentaire. Il se regarde d’une façon particulière.

Pascal Quionquion : ça demande vraiment de se poser ?

Elisabeth Balestrieri : ça demande de réfléchir, de s’imprégner. C’est aussi pourquoi je l’ai fait regarder à mes fils qui, eux aussi, ont compris la manière d’approcher ce reportage. 

Des livres pour mieux vivre

Pascal Quionquion : Aurais-tu un livre à recommander ?

Elisabeth Balestrieri : oui, j’aime bien « Les quatre accords toltèques » de Don Miguel Ruiz, les livres de Natacha Calestrémé dont « Trouver ma place », « Le pouvoir du moment présent » de Eckart Tollé

Regardez la présentation du livre de Natacha Calestrémé : « Trouver ma place » 

Pascal Quionquion : je te remercie Elisabeth, et te souhaite de garder les yeux ouverts pour continuer à voir les signes qui s’ouvrent devant toi. Je te remercie pour les pistes que nous a données et j’espère que chaque lecteur pourra récupérer ce qu’il a à prendre de ton témoignage. Dans cette entretien, tu nous as donné des éléments qui sont véritablement des clés du bonheur.

D’ailleurs, je t’ai dit « chapeau », parce que je vois que tu as compris ton fonctionnement. Tu n’as pas encore conceptualisé, mais tu sais le mettre en mouvement pour que le bonheur puisse se reproduire dans les moments où tu traverses des expériences difficiles.

Elisabeth Balestrieri : en effet, c’est difficile de concevoir une sorte de marche à suivre ou de mode d’emploi.

Pascal Quionquion : ça, c’est mon métier, donc j’entends bien que tu n’arrives pas à le faire. (rires) En tout cas, bravo et merci. Je t’embrasse et te dis « au plaisir ».

Elisabeth Balestrieri : merci beaucoup Pascal. À bientôt. 

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine. 

Bye bye

12 commentaires

  1. Le pouvoir du moment présent est un livre vraiment puissant. Il m’a aidé à me rendre compte de ce qui comptait vraiment pour être heureuse. merci pour cette belle interview

    1. C’est également le cas pour moi. Ce livre a été une révélation. J’ai réalisé que je vivais à côté d’une partie de ce que j’expérimentais.
      Je suis heureux que cet entretien t’ai plu.

  2. « tu n’as pas besoin d’être aimée par quelqu’un »
    C’est si vrai !
    Je me retrouve un peu dans l’histoire d’Elisabeth Balestrieri, mais personne n’a vraiment la même histoire qu’un autre. Le bonheur, je pense, c’est la mise bout à bout de tous les petits bonheurs, et ça, c’est à la portée de tout le monde.
    Vouloir trouver LE bonheur nous empêche de voir tous les autres.
    Cet suite d’articles est vraiment captivante.

    1. J’aime que tu écrives « Vouloir trouver LE bonheur nous empêche de voir tous les autres » car, bone que ce ne soit pas toujours la cas, ça peut participer à placer un nuage devant LE bonheur.
      De plus, vivre chaque bonheur quotidien place dans la gratitude du moment qui nourrit forcément LE bonheur.
      Merci pour ton commentaire

  3. Comme Elisabeth en a fait l’expérience, quand on est sur la bonne voie, toutes les portes s’ouvrent, comme par magie.
    J’aime beaucoup l’idée de façonner son bonheur.
    J’aime beaucoup le livre le secret et le pouvoir de l’instant présent et les qu’âtres accords toltèque, ce sont des livres puissants. J’ai aussi lu le livre de Natacha Calestrémé Trouver sa place, mais je procrastine pour faire les exercices. Merci à l’Univers pour se signe qu’il faut que je me bouge. Ah c’est difficile de changer, c’est tellement facile de rester dans notre zone de confort malgré son inconfort!
    Personnellement ma bible pour cultiver le bonheur c’est le livre de Marci Shimoff Heureux sans raison. Je l’ai d’ailleurs offert à toute ma famille.

    1. Merci Carine, je suis ravi que tu aies aimé cette interview. Je me suis régalé en la faisant. J’avais de grandes chances de penser que ça plairait à entendre.
      Puis-je te compter parmi les prochains de ma liste à interviewer ?

  4. Bonjour,
    Je découvre un peu tout ce que vous raconté, j’ai lu le secret et j’ai mis longtemps à comprendre un peu de quoi il s’agissait.
    Je trouve le concept intéressant, je l’applique dans mes affirmations en espérant que cela fonctionne, heureusement je suis en couple avec une femme qui est naturellement heureuse ça aide LOL
    Elle commence à écrire des articles sur le développement personnel sur mon site.

    1. Merci pour ton retour, Gabriel de partager ton regard sur le livre « Le secret ». Et profite de ta femme naturellement heureuse. Je trouve que le choix de tes mots est beau.

  5. L’avantage avec le bonheur des gens ordinaires, c’est que l’on se sent plus proche d’eux, plus concernée. Merci pour ce beau témoignage qui diffuse des myriades de bonnes vibrations. Peut-être est-ce la loi de l’attraction qui m’a poussée à lire cet article aujourd’hui. Pour que je me requestionne sur le bonheur…
    Au plaisir,
    Noucia

    1. Author

      Oui, Noucia, c’est pourquoi j’ai opté pour cette nouvelle rubrique.
      Humm, je sens en toi une candidate pour une prochaine interview sur le bonheur des gens ordinaires ? Le fait que tu te questionnes sur le bonheur est bon signe, pour moi. Je prendrais donc contact avec toi en « off ».
      A très vite

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