44# Prenez le contrôle de vos émotions

Il vous arrive de péter un câble ! De fondre en larmes ou de tout envoyer bouler ? Il vous arrive peut-être de vous sentir vulnérable ou incapable. Tout cela est en lien avec le royaume de vos émotions. 

Prendre le contrôle de vos émotions est possible. Cela demande une pratique régulière et, surtout, une connaissance de soi. Je parlerai même de re-visite de soi. Dans cette émission, je vous donne les outils pour prendre le pas sur les émotions casse-bonbons. Celles que vous voyez vous pourrir la vie, ainsi que celle de vos proches ! 

Dans cette émission, vous trouverez des outils pour  : 

  • Apprendre à renaître à vous-même, un préalable pour le contrôle
  • Identifiez vos pensées, les racines de vos émotions
  • Utiliser vos émotions à votre avantage uniquement
  • Accroître votre potentiel en modifiant votre manière de penser et, par conséquent, de vivre vos émotions

Transcription intégrale des l’émission

44# Prenez le contrôle de vos émotions

Bonjour à tous, 

C’est parti pour la suite. Chose promise, chose due. 

La semaine dernière, je vous ai invité à travailler sur le tableau des émotions. Vous avez téléchargé le tableau d’exemples qui contentait des émotions. Bien entendu, il ne s’agissait pas des vôtres. Elles vous servaient uniquement d’exemples. Je vous ai donc mis un tableau vierge à remplir avec vos propres émotions. Vous aviez à les classer ensuite par intensité sur trois niveaux : les émotions à intensité élevée, les émotions à intensité moyenne et celles que vous identifiiez comme ayant des intensités faibles. 

Je vous avais expliqué la subjectivité des intensités tout en vous laissant la liberté de définir ce qui vous permettait de choisir telle ou telle intensité. Évidemment, le mieux était d’écrire votre définition pour chacune des intensités avant de définir la catégorisation de vos émotions. C’est le meilleur moyen de respecter votre classification. Sinon, avec le temps, vous risquez d’oublier ce qui vous a conduit à placer telle ou telle émotion dans telle ou telle ligne d’intensité de votre tableau. 

Ce que je ne vous ai pas dit, c’est qu’il est possible qu’un mot définisse plusieurs intensités ou plusieurs émotions. Vous pouvez être dégoûté(e) par l‘attitude de quelqu’un et placer cette émotion sur une ligne d’intensité faible. Et vous pouvez choisir le même mot « dégoûté » pour une intensité élevée.  Ce qui déterminera la place de ce mot est ce qui se trouve dans vos pensées et l’impact sur votre corps et vos actions. 

Gardez la liberté de la créativité et de l’adaptabilité. Vous êtes devant un tableau qui reflète un être vivant. Vous êtes riche de ces nuances. Considérer ce tableau comme ouvert est important. Il pourra donc évoluer au fil de vos expériences en regard avec vos émotions. 

Tirer le meilleur de ce tableau des émotions

Connaître ses émotions et leurs forces d’intensité n’est pas très utile pour jouer au trivial poursuit. L’idée n’est donc pas que vous soyez informé(e) de ce que vous ressentez mais que tout cela vous serve à quelque chose. Que pouvez-vous en faire ? 

Je vous propose plusieurs options d’utilisation. Chacune d’elle peut être vécue séparément mais, bien entendu, le cumul de l’ensemble produira un effet plus grand sur votre capacité à prendre le contrôle de vos émotions. 

1. Apprendre à renaître à vous-même est un préalable pour le contrôle de vos émotions

Chacune de vos émotions est reliée à une ou plusieurs pensées. Aucune émotion n’existe sans pensée fondatrice. C’est la raison pour laquelle une émotion n’est pas positive ou négative en soi. Par contre, la pensée peut davantage être teintée de positif et de négatif parce qu’elle est en relation avec une, voire des intentions, des motivations.

Imaginez que quelqu’un vous offre un cadeau, vous sautez de joie. Cette attitude est connectée à des pensées. Si parmi elles, se trouve une intention de ne pas décevoir l’auteur du cadeau, vous verrez que « sauter de joie » peut rester neutre tout en questionnant la pensée qui aura déclenché l’émotion de peur (en l’occurence ici, la peur de décevoir). C’est cette peur de décevoir qui enclenchera à son tour le jeu qui sera mis en place pour masquer la pensée. Je pourrais dire qu’une émotion est une manière d’habiller une ou des pensées. La même pensée peut donc revêtir plusieurs aspects émotionnels, selon un choix que vous aurez pré-déterminée.

La première utilisation possible de cette expérience peut consister à vous découvrir. Regardez quelles pensées se trouvent sous les vêtements de vos émotions.  Vous pourrez ainsi vous observer, en prenant la posture d’un enquêteur dans le but de préciser ce que vous ignoriez jusqu’alors. 

Commencez à faire un exercice sur des émotions à intensité élevée. Ces émotions peuvent être actuelles, bien qu’il soit tout à fait possible de travailler sur des évènements émotionnels passés. Personnellement, je préfère vous proposer de commencer avec un évènement passé. Grâce à la distance d’avec ce dernier, peut-être arriverez-vous plus facilement à retrouver ce que vous avez vécu. 

Comment faire : Pour que ce soit plus concret, je vais choisir un exemple. Imaginez que votre fils, Bastien, vous ait menti le mois dernier. Il a dit qu’il était en cours et vous avez appris qu’il trainait dans la rue avec un copain du lycée. Le décor est planté. 

  1. Etape n°1 : Prenez votre tableau des émotions. Maintenant, visualisez une scène que vous sélectionnez dans votre passé et pour laquelle vous identifiez une émotion d’intensité moyenne ou élevée. 
  2. Etape n°2 : A présent, regardez le tableau des émotions. En consultant les colonnes, identifiez l’émotion de base qui correspond à ce que vous avez vécu ce jour-là. Il est possible qu’il y ait eu un bouquet d’émotions. Ne vous inquiétez pas si, dans votre situation, vous avez l’impression d’un entremêlement émotionnel. C’est tout à fait possible et même fréquent. 
  3. Etape n°3 : Une fois que la ou les colonnes de votre tableau qui correspond(ent) à votre/vos émotion(s) ont été identifiée(s), vous pouvez choisir le mot le plus adapté à ce que vous avez vécu. J’insiste bien pour que vous cherchiez le mot, pas l’intensité. Commencez par trouver l’émotion de base, et ensuite, le mot qui se trouve dans la colonne choisie. 
  4. Etape n°4 : Définissez ce mot. Pour approfondir cet exercice. Faites-le sur votre cahier de vie. Si vous ne savez pas de quoi je parle c’est que vous avez manqué l’émission « Revivre après un deuil » et « Rendez-vous avec vous-même ». La beauté du podcast est que vous avez droit au rattrapage quand vous le voulez. Alors, foncez ! Si vous savez de quoi je parle, avançons. Sur votre cahier de vie, prenez le temps d’écrire la définition du mot que vous avez choisi dans la colonne de votre tableau. A supposer que j’ai ressenti de la tristesse (comme émotion de base) et plus précisément une blessure, voici ce que je pourrais écrire  : « Je me suis senti blessé. Je pensais que la confiance était instaurée entre mon fils et moi et je vois que ce n’est pas le cas. Pour moi, si la confiance avait vraiment prise entre nous, Bastien aurait osé me dire qu’il ne voulait pas aller au lycée. Il m’aurait parlé de l’importance de sa rencontre, comme il m’en a parlé ensuite. Ma blessure est donc liée à ma manière de concevoir la confiance. Je me sens blessé parce que j’ai l‘impression qu’il n’a pas eu confiance en moi. J’ai ressenti cette blessure dans mon ventre. J’ai eu l’impression d’un serrement au niveau de l’estomac mais aussi au bas du ventre, sous le nombril. Je n’ai pas réussi à terminer mon diner. Je n’avais plus faim. Cette blessure n’est pas au niveau de la trahison mais elle m’interroge sur la relation que j’ai cru bonne avec Bastien. Que veut dire pour moi avoir une bonne relation ? … »

J’arrête l’exemple ici en amorçant un virage vers une pensée qui est, sans aucun doute, elle aussi en relation avec l’émotion du parent de Bastien. 

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Et cela introduit le pas suivant pour tirer le meilleur de ce tableau des émotions

2. Identifiez vos pensées, elles sont les racines de vos émotions 

Identifiez vos pensées. Vous en avez sans doute plusieurs milliers. Vous ne pouvez donc pas les connaître toutes. Cela dit, les plus récurrentes sont celles qui nourrissent votre quotidien. C’est là qu’il est utile et intéressant de commencer. 

Vous vous visualisez devant le miroir ce matin avant d’aller au travail ? A quoi avez-vous pensé en vous regardant ? Si je pose cette question, c’est que vous pouvez ignorer avoir pensé quelque chose à votre sujet alors que vous avez forcément pensé. Vous avez donc ressenti une émotion. Si vous êtes habitué à vous voir, l’émotion est classée dans la ligne de faible intensité depuis longtemps. Par contre, si vous aviez été privé(e) de miroir pendant des jours, des semaines ou des mois, vous mesurez que vos pensées seront davantage perceptibles quand vous vous réfléchirez dans un miroir. J’utilise le verbe se réfléchir parce qu’il est fort de sens. N’y avez vous jamais prêté attention ? Le fait que votre image se reflète quelque part enclenche la réflexion. Vous vous réfléchissez. Une partie de vous est renvoyée à vous-même. C’est exactement le travail auquel je vous invite avec le miroir de ce tableau des émotions. 

Pour varier les plaisirs, prenons un autre exemple pour cette section sur les pensées. Vous vous rendez compte que votre démarrage de journée pour aller travailler est de plus en plus dur. Au travail, le plaisir est moins grand. Que se passe-t-il ? 

Etape n°1 : Regardez le haut des colonnes du tableau pour identifier laquelle de ces 5 émotions de base vous concerne pour cet exemple. Vous avez le choix en effet, car dans cette situation, il peut s’agir de tristesse, de colère, de peur et de honte. Mais alors, comment s’en sortir ? Bien heureusement, vous avez mis des mots dans vos colonnes. Ils sont là pour vous aider. Parcourez alors les colonnes et cherchez le mot ou les mots qui qualifient votre émotion. Il est possible qu’au fil de votre évolution d’expression des ressentis, vous corrigiez ce que vous pensiez dès le départ de votre perception émotionnelle. Mais à ce stade, restons sur votre toute première impression émotionnelle. 

Supposons que vous ayez choisi l’émotion : « anxieux ». Vous vous sentez anxieux/(se). En reprenant le détail de ce que nous venons de voir, vous aurez pris votre cahier de vie pour noter votre propre définition de « anxieux ». Vous aurez également recherché les ressentis corporels de l’anxiété en relation avec l’évènement identifié. 

Etape n°2 : Une fois que tout cela a été fait, gardez votre cahier de vie sous les yeux et recherchez des évènements passés dans lesquels les ressentis corporels étaient identiques ou très proches de ce que vous vivez avec cette émotion d’anxiété. Ne cherchez pas un événement identique mais un ressenti « identique » ou proche. Poursuivez en dépassant les ressentis corporels pour vous centrer sur les ressentis émotionnels dépourvus de perceptions physiques éventuelles. 

Etape n°3 : Une fois que vous avez fait cet exercice, vous savez que l’émotion « anxiété » déclenche les ressentis physiques que vous avez notés et les ressentis émotionnels sans impressions corporelles identifiées.  Vous avez fait un grand pas vers vous-même. 

Cet exercice vous a permis de vivre la corporalité de votre émotion. Continuez à intégrer que cette émotion ne produit pas les mêmes ressentis corporels ni les mêmes comportements chez d’autres que chez vous. Votre vécu est le résultat de créations personnelles en relation avec vos pensées et vos croyances nourries par votre expérience. Si votre expérience avait été autre, vous n’auriez pas ces pensées et croyances et, par conséquent, vous ne ressentiriez pas cette émotion et ne déclencheriez pas ces actions / réactions ou inactions. 

3. Faisons un point de mi-parcours

Je vous invite maintenant à prendre du recul. 

A partir de votre liste d’émotions présentes dans chaque colonne du tableau, vous pouvez visiter votre vie. En regardant un mot, des images défilent dans votre tête en relation avec chacun de ceux que vous avez inscrits dans ce tableau. Bien entendu, toute votre vie ne rentre pas dans un tableau. Considérez donc ce tableau comme un album photo de votre expérience émotionnelle. Dans un album photo, vous ne mettriez pas toute votre vie. Un album n’est constitué que de photos sélectionnées. Cela dit, vous pourrez, à votre guise, ajouter des photos dans votre album émotionnel. Et ce qui est également vrai, c’est que vous pourrez en enlever. A vrai dire, il serait plus juste de parler de modifier ou choisir l’impact émotionnel que de parler d’en enlever. 

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Pourquoi vouloir modifier l’impact de certaines émotions ? 

Vous êtes le/la seul(e) responsable de votre tri. Il vous appartient et personne ne peut vous imposer de changer telle ou telle chose de votre vie. Il est capital que vous considériez cela comme étant votre décision suprême. En conséquence, le choix de modifier votre ressenti vous incombe à vous seul(e). Si, et seulement si, vous percevez que certains vécus émotionnels engendrent des conséquences que vous ne vouliez plus voir en vous, vous pourriez décider alors d’en modifier l’expression. 

Focaliser votre attention sur un changement d’expression peut être une piste mais pourquoi ne pas aller plus loin en centrant votre attention sur le changement d’émotion (plutôt que d’expression uniquement) ? Cela dit, il n’est possible de modifier l’émotion que si la racine est modifiée. Souvenez-vous que vos émotions sont des matérialisations corporelles de vos pensées. Si vous ne changez rien à vos pensées, vos émotions ne changeront pas

Certes, le travail qui consiste à lister le maximum de pensées / croyances que vous avez emmagasinées peut paraître colossal. Pourtant, plusieurs des personnes que j’ai accompagnées l’on fait. Et je vous assure que c’est aidant. Je vous  invite donc, à le faire également. 

Vous pouvez faire ce travail par domaines : Famille, couple, profession, talent, savoir, savoir-faire, savoir faire-faire, spiritualité, foi, religion, argent, richesse, pauvreté, relations humaines, etc. et tout cela en faisant aussi une re-visite de vos valeurs. Vous pouvez aussi vous fonder sur le tableau des émotions et lister toutes les pensées en relation avec chacune des émotions que vous avez notées. Vous pouvez aussi le faire comme cela vous vient. L’exercice consiste à écrire toutes vos pensées. 

4. Utiliser vos émotions à votre avantage uniquement

Un fois que vous avez la liste de vos pensées sous les yeux, vous aurez donc pris connaissance de vos pensées et de vos émotions. 

Identifiez les émotions que vous voulez modifier et cherchez, dans votre liste, les pensées qui leur servent de racines. Soyez attentifs parce qu’il peut y en avoir plusieurs, plusieurs pensées derrière la même émotion et plusieurs émotions reliées à la même pensée. C’est une sorte d’alliage en quelque sorte. 

Une fois que vous avez sélectionné une émotion que vous voulez modifier, cherchez quelles pensées pourraient vous permettre d’aboutir à la nouvelle émotion souhaitée. Par exemple, si vous vous sentez humilié(e) quand vous vous trompez, quelles sont les pensées qui déclenchent cette émotion ? Cela pourrait être : 

« Ce sont les gens nuls qui se trompent » 

« Je ne devrais pas me tromper » 

« Les personnes qui se trompent ont moins de valeur que les autres » 

En regardant rapidement ces trois pensées à l’origine de l’émotion d’humiliation, vous pouvez constater que : 

« Ce sont les gens nuls qui se trompent » porte un jugement de valeur condamnatoire sur vous-même,

« Je ne devrais pas me tromper » est une exigence de résultat comportant une obligation, un devoir en relation avec la notion de faute et, sans doute de pénalité,

et que « Les personnes qui se trompent ont moins de valeur que les autres » renvoie encore à une estimation de votre valeur. 

Quelle émotion voudriez-vous ressentir à la place de l’humiliation ? Je comprends que cette question vous paraisse étrange mais elle est nécessaire si vous voulez vivre autrement les moments où vous vous trompez, pour rester dans l’exemple que je vous ai proposé. Alors, imaginons que vous voudriez vous sentir à l’aise ou serein(e).  A votre avis, que pourriez-vous faire pour enclencher le phénomène en chaine qui vous conduira vers cette nouvelle émotion ? 

Certains d’entre vous l’ont compris. 

  1. Etape n°1 : Recherchez, dans la liste de vos émotions passées, des moments où vous avez été à l’aise et serein(e).
  2. Etape n°2 : Identifiez les ressentis corporels de ces moments-là. 
  3. Etape n°3 : Cherchez le ressenti, même non corporel, de ce que vous vous viviez quand vous étiez à l’aise : Que faisiez-vous ? Que voyiez-vous ? Quels étaient les odeurs, les sons, les couleurs majoritaires ? Quelles étaient vos activités, votre posture physique ? Etiez-vous debout, assis, couché ? Comment était votre visage ? 
  4. Etape n°4 : Ecrivez le plus précisément possible votre vécu de ces épisodes de vie dans lesquels l’émotion voulue était exprimée. 

5. Accroître votre potentiel en modifiant votre manière de penser et, par conséquent, de vivre vos émotions

  1. Etape n°5 : Programmez-vous en visualisant des épisodes dans lesquels vous avez ressenti l’humiliation pour voir ce qui a commencé à déclencher votre émotion. Etait-ce une parole, un regard, un mot, un ensemble de plusieurs de ces choses ? Identifiez des événements de votre enfance en relation avec ces paroles, ces regards, ces mots ou ces éléments croisées. 
  2. Etape n°6 : A présent, rappelez-vous que les évènements sont neutres. Vous pouvez donc, sur le même évènement, vivre d’autres choses. Aujourd’hui, posez-vous la question suivante : que pensent les gens qui se sont trompés et qui ne ressentent pas d’humiliation ? Que pensent-ils s’ils se sentent à l’aise ou serein ? 

Listez les pensées de ces personnes qui se sentent à l’aise et sereines. Ils pourraient penser : 

« L’erreur est humaine »

« L’erreur n’existe pas. Elle est une vue de l’esprit. Elle est un regard faussé sur le courage d’agir »

«  Seuls  les personnes qui acceptent leurs erreurs progressent » 

  1. Etape n°7 : Poursuivez en associant vos ressentis corporels et vos autres ressentis à vos nouvelles pensées. 
  2. Etape n°8 : Puis visualisez vos dernières erreurs en chargeant en vous les ressentis choisis. Je vous propose de reproduire cet exercice trois fois par jour pendant sept jours. Cette visualisation sera plus marquante si vous entendez les discours et si vous voyez les regards. Cela vous aidera à déclencher l’émotion de sérénité et être à l’aise, quand vous revivez la scène. 
  3. Etape n°9 : Terminez par dire à haute voix : « C’est possible d’être à l’aise, serein(e). J’y crois ». Et poursuivez votre journée. 

Je suis impatient de lire vos témoignages. Travaillez avant tout sur les émotions qui vous pourrissent la vie, les émotions casse-bonbon. Vous verrez des progrès étonnants en vous appliquant. Posez-moi vos questions dans les commentaires ce cette émission. 

Vivez votre journée assuré(e) que vous pouvez prendre le contrôle de vos émotions. C’est une autre manière de prendre le contrôle de votre vie pour créer votre bonheur. 

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine. 

Bye bye

Crédit photo : Pixabay – DanaTentis 

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