269# Je veux la paix (suite)

La semaine dernière, nous avons examiné le podcast du même titre, « Je veux la paix ». C’était la première partie. Il s’est révélé sournois car aspirer à la paix était finalement lié à l’idée de payer, d’acheter la paix. 

Je vous renvoie à l’étymologie du mot paix, pacare en latin, comme je l’ai mentionné la semaine dernière. Je vous encourage également à écouter ce podcast si vous ne l’avez pas encore fait, avant de prendre le temps d’écouter celui d’aujourd’hui. Dans celui du jour, j’approfondirai le sujet dernier en vous fournissant des éléments pratiques pour vous montrer qu’il n’est pas nécessaire d’avoir peur de ce que les autres disent ou font. Vous serez donc libre d’ajuster votre comportement sans chercher, à tout pris, à obtenir la paix. Vous aurez la liberté d’être vous-même. Je vous expliquerai pourquoi et comment investir dans une posture d’authenticité.

J’insiste pour que vous sachiez que je ne reviendrai pas sur ce que nous avons exploré la semaine dernière dans « Je veux la paix ». Vous pouvez retrouver le résumé sur le blog Heureux au Présent ainsi que la version podcast sur toutes les plateformes existantes.

L’ironie de la quête de paix par l’adaptation

Je souhaite directement aborder la suite annoncée à la fin du précédent podcast. Elle se fonde sur des pensées du type, « Je ne veux pas m’affirmer car j’ai peur de ce que diront les autres. » ou « J’ai peur de la manière dont les autres percevront ce que je vis et ressens », etc. Ce mode pensées nous pousse hjors de nous. Alors, que l’on veut la paix, on voudra s’adapter à ce que pensent que les gens. A ce qu’ils attendent de nous. Vous comprenez l’ironie de cette situation?

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L’absurdité de la quête d’approbation universelle

Il faudrait que je dispose d’une boule de cristal pour savoir ce que les gens attendent de moi, en réalité. Peut-être que je pourrais faire le tour et demander à chacun son avis. Mais alors, qu’en pensez-vous? Que voudriez-vous que je fasse? Quelle décision aimeriez-vous que je prenne? Ainsi, je chercherais à m’adapter aux attentes des personnes qui s’expriment. Comprenez-vous l’absurdité de cela?

Vous pourriez sourire, vous dire que c’est insensé, et en effet, plus il y a de personnes, plus cela devient compliqué. Il n’y a là aucun sens. Pourtant, nous le faisons. En disant « nous », je m’inclus, car j’ai également adopté de tels comportements et il m’arrive encore de les voir émerger.

L’appel à éviter cette voie absurde

Cette envie de m’adapter à ce que je pense, vouloir correspondre aux attentes, qu’elles soient individuelles ou collectives mérite un « stop » ! Je vous exhorte à ne pas suivre cette voie. En aucun cas, cela ne peut être bénéfique, ni pour vous ni pour les autres. Il est essentiel que cela soit bénéfique pour vous afin de l’être pour les autres. Autrement, vous vivrez au détriment de la relation.

Si vous vous dévoilez en sacrifiant votre authenticité pour satisfaire l’auditoire, le public, ou l’interlocuteur, vous perdez votre liberté.

L’ironie de l’adaptation aux attentes

Pour éviter de décevcoir les autres, il faudrait d’abord que j’aie une boule de cristal afin de savoir ce qu’ils attendent de moi. Peut-être devrais-je faire le tour de mes interlocuteurs pour savoir ce qu’ils veulent. « Toi, qu’est-ce que tu penses de moi? ». « Qu’est-ce que tu voudrais que je fasse? ». « Quelle décision voudrais-tu que je prenne ». Du coup, je chercherai à m’adapter aux décisions des personnes qui se sont exprimées? Vous comprenez l’ironie? 

Votre pouvoir unique

Je vais aborder ce podcast en deux parties et la première que je voudrais travailler avec vous après cette phase introductive, c’est que vous avez du pouvoir sur vous. Quand je dis que vous avez du pouvoir sur vous, c’est que je me fonde sur vos valeurs. Les vôtres, celles que vous avez, qui sont singulières, uniques.

Personne d’autre n’a les mêmes, pas les mêmes valeurs, les mêmes manières d’envisager les valeurs que vous avez. Et parfois vous pouvez avoir l’impression que d’autres ont les mêmes. Mais ce n’est pas possible, ce n’est pas pensable, c’est inimaginable.

Votre territoire intérieur

De la même manière, vous avez des croyances qui découlent de ces valeurs. Elles sont vôtres, Vous en avez récupéré effectivement. Vous en avez peut-être même récupéré beaucoup trop pour lesquelles vous n’avez pas réfléchi. Il est même possible que vous n’ayez pas pensé les construire.

Dans ce cas, je vous renvoie vers le podcast n°110 qui s’intitulait « Je vous assure que vous croyez en vous« . Au demeurant, il s’intitule Encore comme ça ;-). Vous avez également des pensées, des émotions, des actions et des paroles (que j’assimile aux actions. Je n’expliquerai pas ici encore, les raisons pour lesquelles paroles et actions sont quasiment de la même puissance). Tout cela, appartient à votre exercice du pouvoir.

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Visualisez votre unique territoire

Votre territoire est fondé sur des valeurs, des croyances, des pensées, des émotions, des actions ou des paroles. Visualisez-le, ce territoire. Personne d’autre sur la planète n’a le même. Personne n’exerce son pouvoir sur votre territoire, non plus. Vous avez du pouvoir sur vous, sur votre territoire, sur votre personne. Ce pouvoir se manifeste par la créativité de vos pensées, de vos émotions, de vos croyances, comme évoqué plus haut. Il s’exprime par votre autodétermination.

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Créer son territoire intérieur

Quelque part, vous vous créez. Et ce faisant, vous manifestez le pouvoir que vous avez sur vous-même. Votre responsabilité vous conduit également à prendre connaissance de vos besoins. Je parle là de vos besoins spécifiques. Même s’il existent des besoins communs à d’autres humains, leur teneur est forcément singulière. Vos besoins, vos envies, vos rêves et vos désirs, sur lesquels je me suis arrêtée la semaine dernière pour vous sensibiliser à l’importance d’y prêter attention de manière égocentrée.

Conscience des limites et exploration du territoire

Avec cela, vous avez en même temps conscience de vos limites. Vous avez des limites. Hé oui ! En conservant l’image du territoire, ça veut dire qu’il existe une frontière. Votre territoire n’est pas infini, avec des frontières fluides et floues. Il est là, borné. Faites-en le tour. Prenez le temps de vous visiter, de vous observer, de vous découvrir, d’aller voir les recoins. Observez ce qui se trouve à des endroits qui vous paraissent pour l’instant inaccessibles. J’en parle d’ailleurs dans le podcast, « L’émotion qui cache la forêt« . C’est le n°266. Prenez le temps de visiter votre forêt. A ce propos, je vous explique dans ce podcast les raisons pour lesquelles je vous y invite.

Richesse intérieure et auto-limitations

Grâce à des visites, vous prenez conscience de votre richesse. Vous découvrez le patrimoine de votre territoire. En même temps, vous apprenez vos limites, vos auto-limitations et toutes les limites que vous vous imposez à vous-même.

De plus, grâce à la rencontre avec vous-même, vous percevez vos auto-censures. Et là, ce sont des limites que vous vous imposez et qui sont parfois dommageables. Je préfère de l’auto-limitation que de l’auto-censure parce qu’on reste dans l’autonomie. Pour mémoire, nomos veut dire loi en grec. Donc, en vivant l’automie, on s’installe dans l’érection et la gestion de ses propres lois.

Affirmation de soi vs. manipulation des autres

Le domaine de votre pouvoir est campé. Observez-le. Placez-le au niveau de la conscience. Valorisez-le ainsi. Si je vous demande de le valoriser, c’est parce que quand vous commencez à penser, « j’ai peur de ce que diront les autres », « …de ce que penseront les autres », vous infligez des brèches à votre territoire. Vous vous faites croire que votre territoire est plus petit que vous ne l’imaginiez.

Quand on tient ce genre de raisonnement, ça veut dire qu’on a l’impression qu’il nous est possible d’avoir du pouvoir sur les autres. « J’ai peur de ce que diront les autres. Par conséquent, pour éviter que leur attitude n’aille dans une direction que j’ai fantasmée (puisque je n’ai aucun moyen de m’assurer que c’est vraiment ce que diront les autres), j’adopterai une attitude recherchant à exercer du pouvoir sur leur comportement.

Respect de la singularité des autres

Finalement, c’est le révélateur d’une difficulté à accepter la singularité des autres. Acceptez que les autres ont le droit aussi à leur autodétermination. J’ai du pouvoir sur moi. Je n’ai aucun pouvoir sur les autres. Qui plus est, même si je voudrais en avoir un sur les autres, j’ai conscience que ce serait une entrave à leur autodétermination. Il est donc hors de question que je m’autorise à avoir du pouvoir sur les autres. Ça voudrait dire de manière détournée que j’aurais tendance à vouloir manipuler les autres. C’est d’ailleurs le jeu de la manipulation.

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Défis de la manipulation et prise de conscience

Notre mission, quand on veut manipuler les autres, c’est de les défaire de leur pouvoir ou d’une partie de ce dernier. On agit ainsi de manière à avoir nous-mêmes une emprise sur eux. On voudrait qu’ils fassent ou se comportent comme on l’attend. Par conséquent, on les manipule pour qu’à leur insu, ils se trouvent à nous remettre leur pouvoir au lieu d’exercer le leur. Ainsi, on peut ensuite exercer le nôtre sur leur territoire. Quand je dis « le nôtre », je l’utilise de manière abusive. En effet, c’est de notre pouvoir sur eux dont il est question. Quelle perversité peut nous habiter? 

A chaque fois, il m’est arrivé de mentir, de manipuler quelqu’un et d’en prendre conscience, j’ai vu à quel point j’ai voulu exercer du pouvoir sur les autres. J’ai vu à combien c’est déplorable sur moi-même comme sur eux.

Le pouvoir et ses limites

Certains pourraient dire que certaines personnes ont malgré tout du pouvoir sur d’autres. C’est systématiquement faux. On a le pouvoir sur quelqu’un quand ce quelqu’un nous l’a donné. On ne peut pas abusivement prendre le pouvoir sur quelqu’un. Enfin, si on peut. Par la violence, par le viol, même s’il n’a pas de connotation sexuelle. Le viol, c’est l’entrave à la liberté de l’autre pour abuser de ce qu’il possède ou de qui il est. Mais il nous arrive rarement d’être violé, abusé par un autre. C’est nous qui tendons les clés pour que l’autre mène sa vie à sa gusise sur notre territoire. Souvenez-vous en. J’ai du pouvoir sur moi. Je n’ai aucun pouvoir sur les autres.

Le pouvoir des humoristes et l’auto-conditionnement

On pourrait interroger des humoristes, ces gens habitués et entraînés à faire rire. On pourrait dire qu’ils ont un pouvoir sur les gens qui viennent les écouter, puisqu’ils arrivent à les faire rire. Et pourquoi? En fait, ils n’ont pas ce pouvoir. Je l’affirme. Ils n’ont pas ce pouvoir parce que les personnes qui les écoutent ne rient pas toutes. Certaines blagues font rire certaines personnes et pas d’autres. 

Certains humoristes font rire un profil de personnes et pas d’autres. Il est donc évident que les personnes qui rient sont des personnes qui se sont auto-)conditionnées pour rire à un certain type d’humour ou à un certain type d’humoristes. Il s’agit d’une suite de pré-ancrages. Parce que l’humoriste n’a pas de pouvoir sur ces personnes-là. L’humoriste n’a du pouvoir que sur lui-même, tout comme vous n’en avez que sur vous-même. Les personnes qui choisissent de rire de l’humour de ces humoristes-là exercent leur propre pouvoir sur elles-mêmes en se préconditionnant dans le but de rire.

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Le pouvoir sur soi et l’acceptation de l’autre

Vous n’avez pas de pouvoir sur les autres. Cela a pour conséquence que vous pouvez rentrer dans l’acceptation de l’autre en l’état.

J’aime bien cette expression « en l’état ». Quand on achète un véhicule aux enchères ou une maison, on l’achète « en l’état ». C’est à dire que, quand on l’a acheté, on ne peut pas, après coup, dire « il y a ceci qui ne va pas. J’ai découvert que ceci ou que cela… ». Quand vous commencez une relation avec quelqu’un, vous acceptez la personne en l’état. Vous décidez d’être son ami ? C’est en l’état.

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Défis de l’acceptation et de l’adaptation

Vous n’allez pas vous dire qu’il y a quelque chose qui ne va pas au bout de quelque temps. En même temps, je dis ça, mais c’est bien comme ça que ça fonctionne pour la plupart d’entre nous. On fait et on défait les amitiés comme on fait et on défait les amours parce qu’on a de la difficulté à accepter et à accueillir les gens en l’état. On veut que les autres correspondent à un résultat à notre mesure. Alors pour ce faire, on cherche à les changer l’autre. On va aussi s’adapter pour que le résultat de qui l’on est corresponde à ce que l’on pense que les autres voudraient que l’on soit.

Réciprocité et singularité

Je n’ai pas de pouvoir sur les autre. Cela sous-entend que les autres n’ont pas de pouvoir sur moi. Comme je l’ai évoqué avec l’exemple de l’humoriste, l’autre vit égocentré, comme moi-même, je le suis (du moins, c’est à espérer). Par conséquent, nous entrons mutuellement dans une ouverture de la singularité.

Reprenons l’image du territoire. Il y a un bornage sur ce territoire. Il se trouve limité. Or, ce bornage est respectueux de mon univers. Evidemment, l’autre placera également un bornage qui sera respectueux de son univers.

L’Univers et ses lois

Tout l’univers est régi par des lois. Chaque planète suit ses propres lois. La loi gravitationnelle, qui existe sur la Terre, n’existe pas de la même manière sur les autres planètes. Pour d’autres planètes, ce sont d’autres lois. Certes, il y a des lois communes, des lois liées à leurs circonférences, des lois de déplacement, des lois de rotation, d’auto-rotation comme de rotation autour du Soleil. C’est vrai. Mais aucune courbe n’est identique. Aucune vitesse de déplacement non plus. Aucun climat ne ressemble à un autre. De même, aucun matériau composant la planète n’est présent en quantité identique à une autre.

Chaque planète, comme chaque humain, a un bornage respectueux de son propre univers. Chacun possède ses propres lois, son autonomie, comme je l’ai évoqué tout à l’heure. D’ailleurs, je pense que c’est vraiment là que l’on peut comprendre que le pouvoir exercé par la planète voisine n’a aucune mission visant à dicter les lois de ma propre planète.

Certes, le déplacement de la planète voisine peut avoir des effets, des incidences sur mon propre déplacement. On va alors s’adapter l’un à l’autre. Mais il est de question de chercher à correspondre à ce que veut l’autre. On va s’adapter pour s’organiser dans un univers dans lequel on créera une place pour chacun. Un territoire qui permettra à chacun de se mouvoir et d’exister sans jamais vouloir que l’autre adopte nos propres lois et vive selon nos aspirations. Pourquoi? 

Parce que nous avons conscience d’avoir du pouvoir sur nous-mêmes et jamais sur les autres. Ou du moins on ne veut pas chercher à exercer un pouvoir sur la planète de l’autre. Ça s’appelle l’amour, le respect, l’acceptation. Nous optons alors pour une cohabitation. Et dans cette dernière, on s’exercera pour exprimer son propre pouvoir en accueillant la singularité du pouvoir de l’autre.

La peur et ses trois visages

Il m’est venu à l’esprit trois situations que je vous présente :

  1. Si je dis ce que je pense, ça va déplaire. Alors je me retiens.
  2. Je fais la folle en soirée pour ne pas passer pour une chieuse.
  3. Je passe voir mes parents régulièrement parce que sinon, c’est des reproches assurés.

Dans ces trois situations, vous avez remarqué qu’il y a une émotion phare? Celle de la peur. Ces trois apréhension pourraient être ainsi formulées :

  1. Si je dis ce que je pense, finalement, j’ai peur que ça déplais.
  2. Je fais la folle parce que j’ai peur que l’on me catalogue.
  3. Je vais voir mes parents parce que j’ai peur de subir des reproches.

Or, comme je l’explique très bien dans le podcast n°165 que je vous invite à écouter, prendre des décisions fondées sur la peur ne conduit pas à des décisions de construction.

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Éviter la cabane de la peur

On ne construit sur la peur que de manière éphémère, pour éviter quelque chose. On ne construit pas pour magnifier un projet. Si vous construisez sur la peur, soyez-en conscients et dites-vous : « Oui, c’est une construction éphémère, c’est une cabane. » Dès que l’on aura passé l’événement et que je me sentirai mieux, je détruirai ma cabane pour construire un édifice en le fondant sur la joie. Plus sur la peur. Car la joie est l’émotion la plus adaptée à la construction.

Trois situations réexaminées

Revenons aux trois situations évoquées précédemment. Si je fonde ces pensées sur la joie, à quoi cela pourrait-il ressembler ?

– Dire ce que je pense : Je me prépare à accepter que l’autre exerce son pouvoir. Il pourra donc donner son avis. J’accepte que ça déplaise et que ça puisse plaire, aussi. J’ai conscience de projeter un fantasme désagréable en pensant pouvoir deviner la réaction de l’autre. En travaillant à l’adaptation, je peux dire ce que je pense tout en prenant en compte le passé pour ajuster ma manière de m’exprimer.

– Être soi-même en soirée : Je peux être authentique en acceptant d’être moins drôle sans me qualifier de « chieuse ». En me libérant du jugement anticipé des autres, je reste dans le présent et m’affranchis de projections infondées.

– Visiter mes parents : Je peux ajuster la fréquence des visites à un niveau qui me semble raisonnable, en acceptant que ça puisse leur déplaire. J’acceptent qu’ils fassent des reproches. Je leur laisse le pouvoir de penser ce qu’ils veulent de moi, tout en m’offrant le droit d’exister.

La liberté en 6 actions

Il s’agit d’inscrire dans votre mental une mentalité qui vous conduise à vous défaire de l’impression de devoir pour adopter une approche pleine de pouvoir. Vous avez le pouvoir sur vous.

  1. Respectez le pouvoir que les autres ont sur eux.
  2. Comprenez que les autres n’ont aucun pouvoir sur vous.
  3. Servez-vous de votre pouvoir de choix et assumez-en les conséquences.
  4. Plutôt que de chercher la paix en vous taisant, choisissez la liberté.
  5. Pour moi, la vie est comme un grand buffet : ceux qui se servent ont plus de chance d’être rassasiés que ceux qui attendent d’être servis.
  6. Prenez la liberté, ne l’attendez pas. La liberté, est ce qui vous permettra d’aboutir à la paix. En étant dans la vérité, en évitant le mensonge qui chercherait à exercer un pouvoir sur autrui, vous vous installerez dans la liberté, qui, par effet ricochet, instaurera la paix.

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine. 

Bye bye!

6 commentaires

  1. Je suis vraiment d’accord avec cet article. Personnellement j’aime les gens vrais et je déteste me transformer pour plaire.
    A mon sens, si l’on est soi-même, on plaira aux bonnes personnes.

    1. Yop ! Je me réjouis de lire ta position. Continues à la mettre en œuvre, stp 😉

  2. Merci pour ton article. Ca m’a pris bcp d’année à comprendre que je devais être moi dans la relation et pas comme mon mari le souhaitait. Aujourd’hui, j’ai réussi à le quitté parce que j’ai eu bcp de patience en espérant l’éduquer et le changer afin qu’il me respecte comme je suis, mais on ne peut pas changer quelqu’un qui ne le souhaite pas. Concernant les non-dit, j’essaie rapidement de dire se que je pense à mes amis quand je pense qu’ils m’ont fait du mal verbalement ou psychologiquement parce que c’est le seule moyen pour moi de retrouver la paix en moi et avec moi.

    1. Merci pour ton retour, Fabienne.
      Je me réjouis que tu aies grandi de ton passage de vie à deux au point de vouloir être toi. C’est là que tu es la plus vraie, la plus belle, n’est-ce pas ?

  3. Merci pour ton article. Il est, en effet, important d’apprendre ses propres limites. Une question que nous nous posons avec mon compagnon :  « est-ce une limite ou une rigidité ?  »  Cela pourrait être un autre article pour toi. 

    1. Beatrice, merci pour ton commentaire.
      En effet, la question de la limite ou de la rigidité peut être un sujet à aborder. Je l’ajoute à la liste des sujets sur lequel je travaillerai en vu d’une publication dans quelques semaines.
      Merci encore et au plaisir.

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